Que les ténèbres soient !
Sur le syndicalisme d'action directe et les coupures de courant… Et sur un appel à la semaine d'action contre RTE et EDF du 13 au 18 janvier.
Sur le syndicalisme d'action directe et les coupures de courant… Et sur un appel à la semaine d'action contre RTE et EDF du 13 au 18 janvier.
L'explosion Gilet jaune entre le 17 novembre et la fin de l'année 2018 a placé l'ensemble de nos luttes quotidiennes dans une perspective renouvelée. Près d'un an après le début du mouvement, il nous paraît l'heure de faire un bilan. Pour rendre intelligible ce qui s'est produit, certes, mais sans se lancer dans une analyse exhaustive ou détaillée de l’évènement, qui serait bien trop longue. Surtout, ce texte se donne pour objectif de comprendre tant nos manques ou nos ratés, que nos illusions et nos aveuglements, pour essayer d'envisager la suite avec clairvoyance. Autant d'ambitions que nous ne tiendrons surement pas, mais qui amèneront, nous l'espérons, de nombreuses discussions.
Ce qui suit aurait tout aussi bien être écrit en cette période caniculaire. Mais 110 ans avant les tièdes introspections de Nicolas Hulot, l'un des théoriciens du communisme de conseils, Anton Pannekoek, analysait déjà la responsabilité de la bourgeoisie, par sa soif de profit immédiat, dans la mise à sac de l'environnement et l'impossibilité d'y mettre fin dans le capitalisme.
La présentation d’une expérience de coopération intégrale, échappant aux écueils de l’alternativisme (capitalisme bio, local, « éthique ») et de l’autarcie communautaire – avec des participant-e-s à cette expérience.
On est beaucoup de gilets jaunes à ne pas savoir où aller en janvier... Que faire ? La répression, la propagande, et l'étirement du mouvement semblent parfois avoir eu raison de lui depuis début décembre... Et pourtant, tout reste insaisissable, beaucoup restent déters, occupent et passent Noël sur les ronds-points... D'autant plus que l'Acte VIII du 5 janvier a clairement marqué un rebond dans la mobilisation... Alors, la suite ?
Alors que l’aggravation de la crise a fait porter ses coûts principalement sur les prolétaires, la fin du bipartisme qui pacifiait les relations entre travailleurs et bourgeois a entraîné avec elle les mobilisations sociales victorieuses centrées sur des revendications spécifiques. Les nouvelles formes de mobilisation plus radicale, se présentent également avec plus ambiguïté alors qu’aucune forme de compromis social ne semble plus envisageable.
Une histoire critique des expériences de gouvernement de gauche national-étatiste (PS-PCF) de 1944-1947 et de 1981-1983, autour de Quand la gauche essayait. Les leçons du pouvoir (1924, 1936, 1944, 1981) (Agone, 2018) de Serge Halimi (rédacteur en chef du Monde Diplomatique) – avec Sylvain de Zones Subversives.
Il s'agit d'établir le nombre des victimes du capitalisme afin de mesurer son degré de violence. Le but de cet article est de venir étayer l'argumentaire de celles et ceux qui critiquent le système capitaliste en apportant des données qui, pour certain-e-s, seront nouvelles, ou qui permettront à d'autres de se rafraîchir la mémoire.
Emission radio de Vive la sociale sur FPP 106.3 portant sur l'agriculture industrielle en France, et dans le monde . Avec Yannick Ogor, auteur du livre Le Paysan impossible, et Silvia Perez-Vitoria, auteur entre autres du Manifeste pour un XXIe siècle paysan.
Le réformisme et la promotion de l'action individuelle comme moyen de lutte existent depuis le début de la lutte anticapitaliste. Aujourd'hui, ce mode individuel de contestation prend une nouvelle forme : celle de la start-up et de la « consommation éthique ».
Depuis le passage du féodalisme au capitalisme dans la plupart des pays impérialistes à partir de la fin du 18e siècle, le capitalisme n'a eu de cesse d'être critiqué. À ces critiques, les défenseurs du système capitaliste ont répondu par la production d'une idéologie : la méritocratie. Ce texte se veut une brève analyse de ce qu'est la méritocratie et des raisons pour lesquelles il s'agit d'une escroquerie intellectuelle visant à légitimer les inégalités découlant du capitalisme.
Nous avons vu dans la première partie que dans les années 80 et 90 les capitalistes intègrent à leur chaîne d’accumulation des masses de travailleurs et travailleuses du tiers-monde. Nous allons voir comment la mondialisation s’est structurée avec l’endettement des pays pauvres et l’obstruction à la circulation des prolétaires pour générer des zones de travail intensif payés une misère.
A la fin du XXe siècle, le capitalisme se restructure en étendant le libre-échange à une échelle jusqu’ici inconnue : celle du monde entier. Alors que nous baignons dans une économie d’export globalisé, regardons de plus près pourquoi et comment la mondialisation s’est mise en place.
Le pouvoir appelle l’argent, et réciproquement, depuis l’invention de la politique. Mais si c'est bien l'homme politique qui exerce une bonne partie des pouvoirs, c'est du côté des entreprises que se situe l'argent, et donc les leviers de manipulation des hommes politiques. Entre ces deux mondes imbriqués, une engeance trouble qui s'emploient à « fluidifier les relations » : les lobbyistes, plus ou moins discrets, mais toujours efficaces.
Si le terme de fascisme a une origine historique datée, le fascisme comme manifestation politique recouvre des réalités de pouvoir oppressif très diverses : racisme et sexisme en sont les formes les plus communément dénoncées mais le néolibéralisme nous paraît être tout autant problématique.
En pleine agitation médiatique autour du "revenu d'existence", une émission d'analyse critique et de débat des propositions et des théories de Bernard Friot, notamment de son « salaire à vie » – avec Sylvain de Zones Subversives, Matt d’Alternative Libertaire et de Tantqu’il, et Benoît d’Alternative Libertaire.
Retour sur les petites magouille du syndicat « radical » Force Ouvrière...
Texte publié en espagnol en décembre 2009 dans le numéro 5 de la revue Ruptura, édité sous forme de brochure.
Une émission aux racines communes du capitalisme, des classes, du patriarcat et du néocolonialisme raciste, pour une théorie critique émancipatrice commune de toutes les dominations sociales – avec Benoît d’Alternative Libertaire (théoricien critique, professeur de philosophie)
Une émission d’analyse critique de l'altercapitalisme keynésien et du national-étatisme de Lordon – avec Benoît (théoricien critique, militant d’Alternative Libertaire)
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