Un appel international face à la guerre
Un appel à résister face à la situation mondiale et locale qui ne cesse de s'aggraver, et qui semble nous conduire à la guerre.
Un appel à résister face à la situation mondiale et locale qui ne cesse de s'aggraver, et qui semble nous conduire à la guerre.
Ce texte est une réponse à l'article « À bas les pacificateurs » paru récemment sur notre site d'information préféré. Si les membres du RAS [1] n'étaient pas présent.e.s lors des événement décrits dans l'article, il s'agit avant tout de discuter du message véhiculé par l'article, tant par le fond comme par la forme.
L'organisation autonome ouverte permet un dépassement des dynamiques qui prédominent actuellement dans les espaces ouverts et les actions rejoignables à Paris. Parce qu'on ne construit pas un rapport de force en « montrant sa force », mais bien en s'en servant, les espaces qui nous manquent sont des lieux tournés vers l'organisation collective, et non des caisses d'enregistrement de stratégies décidées ailleurs ou des relais d'appels. Nous voulons des lieux de discussion politique de fond et de construction collective de nos cibles, ainsi que des moyens à se donner pour les atteindre. Cela implique de se doter d'outils pour prendre des décisions : être efficaces malgré le nombre et les divergences internes, c'est faire reposer sur le cadre de l'organisation même la possibilité de réaliser nos objectifs.
Une telle formule peut sembler utopique, ou tapageuse, et à raison. Utopique car elle parle de quelque chose qui n'est nulle part en France, tapageuse car elle est scandaleuse, et appelle a une rupture totale. Mais faire la révolution est-elle une lubie, ou le résultat d'une simple nécessité, à condition d'une conscience d'un champ de possibles élargis ?
Vous avez dit virilisme ?
Dans cette émission de Vive la sociale - FPP 106.3 FM - il sera, tout d'abord, question de la reforme de l’enseignement professionnel et, ensuite, de l'ouvrage « Contre la résilience » présenté par l'auteur, Thierry Ribault, à la librairie Publico de Paris. Bonne écoute !
Bloquons Paris avec les poubelles ! La place des poubelles c'est sur la route pour bloquer la circulation des voitures !
Natacha, 18 ans, parle de son parcours militant, intellectuel et personnel. Comment en est-elle venue à s'impliquer dans les luttes sociales et dans la lutte révolutionnaire ?
Les Stiffs, s'ils ignorent les partitions de genre, c'est parce ce qu'ils mènent une sous-vie de trimardeurs, été comme hiver. Déréliction subie. Toutes couleurs confondues, ils sont d'Afrique, du Métro La Chapelle, de Birmanie ou du Loaos, ils sont de partout et finissent nulle-part. ils font la manche, se détruisent à petits feux, ils crèvent de faim et leur voix n'est aujourd'hui portée par personne, aucune groupalité réelle ne remarque ces « invisibles » du champ social. L'État les préfère inexistants. Ils encombrent les rues, ils connaissent l'écroulement et personne n'a jamais pris le temps d'observer ce que tente de dire leur regard. Qui donc les aide à se relever ? Bien peu, en vérité. Voilà un autre élément discursif qui peut servir de motif pour détruire les avenues du Second Empire. Right Now.
Traduction d'un texte de Mark fisher (aka k-punk) sur la dépression, cherchant à convertir « un malêtre privatisé » en « une colère politisée »
La suppléante de Mathilde Panot serait donc Farida Chikh ? Cette infirmière qui fut condamnée pour « violences contre dépositaires de l’autorité publique » ? Cette même Farida qui a caillassé les fdo en 2020 et leur a fait des ouads ? Si je vous dis que ça sent, ça pue les élections Le LFI est devenue tout à coup le grand défenseur des révoltes et des révolutions ? … Parce que si on remonte un peu dans le temps, le Méluch a bien craché sur le mouvement. On se rappelle ? On se (...)
Ni expert, ni dieu, ni maitre, ni patrie, ni patron, ni le pen, ni macron, ni tous ces enfoiré.es de politicard.es qui nous enfument dans leurs urnes funéraires !
Les termes femmes hommes étudiant étudiante ne figurent pas dans cette lettre ouverte à le la caf et autres organismes dits sociaux
Le collectif Agitations sort sa première revue papier ! Un 80 pages couleurs de textes politique, avec entre les textes des collectifs camarades de Carbure, Temps libre et Translib. A retrouver en librairie et lieux militants dans toute la France, en Belgique et en Suisse.
Une émission en musique autour de la techno des origines, au-delà d'une simple critique de « l'industrie culturelle » ou d'une apologie de la techno mainstream de boîte de nuit – avec des membres du collectif stoff, auteur sur ce sujet de « La théorie du boom : sur la techno de Detroit et la crise du fordisme » (stoff n°1, 2020).
Exposition photographique de la cantine GJ de l'AERI, à Montreuil. Du samedi 29 mai à une date indéfinie, un reportage photo présente la cantine GJ en train de se faire. Photos N&B. Elle accompagne, ce jour, 30 mai, la rencontre commémorative de la Commune de Paris à l'AERI, organisée par l'UCL, les GJ, Extinction Rébellion. En complément des conférences-débat, c'est une « réflexion » sur une trace encore vivante de la Commune, de « la Marmite » de Varlin et Nathalie Lemel, une cantine populaire, auto-organisée, autogérée, bénévole, proposée à prix libre aux gens du quartier et au-delà. La cantine vue comme base fondamentale de toute démarche d'autonomie, dans les temps présents, passés et futurs...
De la manifestation Convergence des luttes s'étant élancée le Samedi 1er mai 2021 de République à Nation, beaucoup d'entre nous ne retiendrons que les incidents de la fin de manifestation, au cours de laquelle plusieurs dizaines de personnes furent blessées. Ces incidents s'inscrivent dans la continuité de crispations pré-existantes entre les militant.e.s syndiqué.e.s de la Confédération Générale du Travail (CGT) et une partie toujours plus importante de militant.e.s gilets jaunes et autonomes. J'ai vécu cette rixe à la première personne, et tenterai dans cet article de mettre en perspective ce que j'ai vu ce jour là avec mes questionnements autour de la possibilité d'une convergence avec des structures syndicales en général et avec la CGT en particulier.
Pourquoi laisser l’art poétique, la philosophie (modestement) et la lutte armée aux “spécialistes du discours” (les intellectuels staliniens auto-proclamés") ? Ce texte reproduit par l’écriture ce qui se passe dans le cortège de tête : dépasser les petits chefs qui monopolisent, capturent le savoir sur la lutte et instituent une insidieuse “verticalité théorique” (dangereuse). Un bllet d'humeur qui sort un instant des sentiers battus et explore les ponts associatifs possibles entre poème et révolution, entre sensorialité (la nôtre à tous) et expérience subjectivante.
Extrait de la première partie de la pièce « De quoi hier sera fait » , de Barbara Métais-Chastannier, mise en scène par Marie Lamachère (Cie Interstices) créée le 15 janvier 2020 au Centre dramatique de Montpellier.
Élément de réflexion sur le sens à donner à nos luttes et sur la légitimité d’occasionnelles divisions théoriques et pratiques
page précédente | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | page suivante
Suivre tous les articles "Analyse et réflexion"
Paris-luttes.info est ouvert à la publication. La proposition d'article se fait à travers l’interface privée du site. Quelques infos rapides pour comprendre comment y accéder et procéder !
Si vous rencontrez le moindre problème, n’hésitez pas à nous le faire savoir
via le mail paris-luttes-infos@riseup.net