Sabotages, blocages, explosions : que se passe-t-il chez les agriculteurs ?
Une souffrance bien réelle récupérée par le lobby de l’agro-industrie. Article de Contre-attaque
Une souffrance bien réelle récupérée par le lobby de l’agro-industrie. Article de Contre-attaque
Ce texte témoigne de la rencontre entre les organisateurices du festival d'écologies anarchistes les Digitales, dont certainEs habitantEs du squat de la Baudrière, et des membres du Convoi de l'eau en Août 2023.
Court retour d'expérience et informations sur notre première action de revégétalisation « sauvage » de nos villes.
Dans cette émission de Vive la sociale le Collectif contre l'ordre atomique explicite son point de vue, les raisons de son opposition à la relance du nucléaire voulue par Macron et le lobby qu'il représente, et développe des arguments rarement entendus dans les médias dominants. Bonne écoute !
Récits sonores d'un week-end accablant et enrageant.
Une semaine après les événements de Sainte Soline, notre camarade Serge est toujours entre la vie et la mort, les blessés pansent leur plaies et l'État n'a toujours pas exprimé le moindre regret. Analyse et appel à solidarité par des anarchistes franciliens.
Mégabassines, liberté de tuer et fétichisme de la marchandise.
Dans cette émission, Zoom écologie reçoit plusieurs camarades allemand.e.s qui ont participé à la lutte contre l’extension de la mine de lignite de RWE et à l’occupation du village de Lützerath dans l’ouest de l’Allemagne.
L'actualité politique la plus récente est brûlante et nous interpelle : à l'heure de l'effondrement climatique et de la casse sociale généralisée, quand poserons-nous sérieusement la question de la nécessité, de la possibilité de l'usage de la violence politique par notre camp ?
Un bilan critique du courant anti-industriel, incarné par des groupes comme Pièces et main d’oeuvre, Oblomoff ou Ecran Total, des éditions comme La Lenteur, et des sites comme Sniadecki, et présent au sein de nombreuses luttes écologistes (anti-OGM, anti-nanotechnologies, anti-puçage, anti-Linky, ZAD de Roybon, etc).
Le week-end du 28 et 29 octobre, une invitation a appelé à se retrouver pour empêcher l’installation d’une nouvelle méga-bassine. L’objectif est très clair mais il faut l’avouer, il semble difficilement atteignable. S’attaquer directement à des projets dévastateurs, à ceux qui les mettent en place et les protègent relève du bon sens, mais comment s’y prendre pour réussir ? Il faut paradoxalement se décaler légèrement de l’attraction que cette cible opère sur nous. Il faut moins penser à la destination qu’au chemin qui y mène. Ce qu’il faut alors, c’est accepter de livrer bataille, s’apprêter à marcher longtemps, courir et surtout, tenir dans les nuages de gaz. Ce qu’il faut, c’est mettre en échec le dispositif policier. Du niveau de puissance que nous allons déployer pendant cette journée dépend sa réussite. Parce que quand bien même nous n’ arrivons pas à atteindre le chantier, ce qui se joue dans ces moments là dépasse la simple lutte contre les méga-bassines. Des complicités qui naissent sur le champ à celles qui s’organisent en amont, il y a là l’expérience d’une force à même de relever des défis bien plus grands. Mais pour cela, il faut se débarrasser d’un obstacle majeur présent dans cette lutte, plus précisément de son cadre de pensée. Nommons-le : l’écologie.
Dans cette émission de Vive la sociale - FPP 106.6 FM - vous écouterez des interventions et débats sur « la dimension technique de la crise écologique », « la critique de la 'mégamachine' » et les « perspectives et luttes ».
Une émission qui va au-delà du conspirationnisme négationniste ou relativiste des uns et de l'hygénisme étatiste et individualiste des autres, et propose de penser l'épidémie de covid-19 comme une double crise socio-environnementale et sa gestion comme un produit des contradictions de l'État capitaliste - avec Marius et Adrien du Comité pour l'Extension des Courants d'Air.
Cet article fait suite au week-end Écologies Vénéneuses qui a eu lieu du 10 au 12 juin au squat de la Baudrière. Il propose un constat sur les dernières années de contestation à travers un double regard sur le milieu autonome et le milieu écolo.
Le ravage écologique est en cours. La croissance « verte », le solutionnisme technologique ou la transition douce par l’État sont des mythes réconfortants dont il faut maintenant faire le deuil. Deux possibilités se présentent alors à nous : l'effondrement des écosystèmes ou celui du système capitaliste. Dans le premier cas, les conditions nécessaire à la vie sur Terre se trouvent extrêmement réduites. Dans le deuxième cas, c'est-à-dire si le système capitaliste s'effondre, les écosystèmes reprennent vie, les communautés humaines et non-humaines peuvent s’épanouir. Face au ravage écologique nous devons démanteler le capitalisme et les infrastructures sur lequel il repose.
Alors que les marées noires se multiplient ces derniers temps, on semble toujours les considérer comme des accidents épisodiques qu’il faut traiter au cas par cas. Mais ne devrait-on pas comprendre que la catastrophe écologique est permanente, pensée, organisée ? Que ce que l’on appelle accident n’est finalement qu’un épisode éruptif de l’écocide général qui se poursuit dans l’indifférence quasi-générale ?
Barbouillage de ressentis personnels et de réflexions analytiques, ce recueil de témoignages et de critiques écrit entre mi-septembre et fin-novembre 2021 voudrait approfondir les dysfonctionnements de la branche française du mouvement écologiste international Extinction Rebellion, créée en 2018.
Il y a quelques jours s’est déroulé au palais du Luxembourg de Paris, une opération de lobbying orchestrée par de grosses pourritures nucléocrates. Tandis qu’à l’intérieur se déroulait le dégueuli, d’aucunEs se sont adonnéEs, à deux pas de là, à une sympathique activité de tractage auprès des passantEs, afin de discuter du nucléaire et son monde. À l’aune des présidentielles et tandis que la propagande médiatique bat son plein suite aux annonces de poursuite du nucléaire, ces merdes se réunissaient pour parler « enjeux et réussite » et « acceptabilité sociale » du nouveau programme nucléaire.
Et si l’antispécisme c’était plus qu’un régime alimentaire, pas seulement une position morale, autre chose qu’une empathie de principe envers la souffrance ? Et si c’était une critique radicale de l’organisation sociale qu’on subit au quotidien ? Et si être antispé c’était, aussi, envisager des actions directes qui s’attaquent aux structures et aux institutions économiques, sans lien évident avec l’élevage et l’abattage d’animaux non-humain.es ? Qu’on se le dise, le véganisme capitaliste, lifestyle hipster et urbain, s’accorde aux chemises à fleurs et aux bars à jus gentrificateurs. Il rate l’essentiel : le capitalisme est aujourd’hui le moteur principal de la domination spéciste. Mobiliser ses outils pour faire cesser la domination exercée sur les animaux-non humain.es constitue une impasse. Si le capitalisme veut nous faire agir en consommateurice ou en entrepreneurice pour transformer la société, ce qui compte pour nous, c’est prendre la question sur le plan collectif et politique.
Je vous propose un article qui requestionne le mouvement antispéciste, globalement, dans son rapport avec les rapports de production capitalistes, afin de montrer son incohérence idéologique et, conséquemment, sa non place dans la convergence des luttes, dans son cadre de discours hégémonique.
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