
Syndicalisme et action directe : ce cortège qui prend la tête
Au-delà des stigmatisations, bref retour aux origines du syndicalisme qui a tout à voir avec le cortège de tête.
Au-delà des stigmatisations, bref retour aux origines du syndicalisme qui a tout à voir avec le cortège de tête.
Voilà, on y est, tous les médias en parlent, les politiques de droite condamnent avec fermeté et demandent plus de répression, les politiques de gauche tentent de faire passer les « casseurs » pour de faux manifestants infiltrés pour décrédibiliser le mouvement social contre Macron. Les évènements du 1er mai à Paris sont à la une de tous les journaux, BFM & Co sont en boucle dessus et on a droit à la logorrhée habituelle sur les méchants-casseurs-vêtus-de-noir-mais-qui-sont-ils- ? Ces évènements du 1er mai à Paris donnent l'occasion de livrer quelques réflexions au sujet de la casse, de son traitement médiatique et politique, ainsi que du débat stratégique qu'elle ouvre nécessairement.
Dans le mouvement social actuel, les affrontements avec les forces de l'ordre n'ont pour l'heure pas encore dépassé les limites de la société du spectacle et du spectre de la liberté.
Nous appelons à créer des comités locaux partout en France, par quartier ou par ville à partir du 5 mai. Ces comités devront être liées par une base commune nationale, qui pourrait être celle de faire tomber le régime. De nous organiser sans lui.
Dans la continuité du texte « Propositions stratégiques pour la suite de l’anti-macronisme », quelques réflexions sur les prémisses d'un « mouvement social » naissant.
« La question politique qui s’offre à nous est la suivante : qu’est-ce qu’une victoire, comment l’envisager et comment se donner les moyens de l’atteindre ? » - Réflexions sur la bataille qui s’ouvre autour des cheminots.
Un mouvement social d'ampleur semble éclore, deux ans après la lutte contre la loi travail. Alors forcément, on est très excités : retour des 11H Nation et de l'effervescence collective. Mais comment éviter de retomber dans la routine pourtant stimulante et mobilisatrice du « cortège de tête », qui a fini par nous écraser en 2016 ? Quelques tentatives de propositions... en appelant d'autres.
La rencontre entre le cortège de tête et la date symbolique des cinquante ans de Mai 68 fait déjà des étincelles : contribution à rallumer le pétard mouillé.
Ça y est, cette fois c'est fait, un gouvernement décide de supprimer purement et simplement le statut des cheminots et de préparer la privatisation de la SNCF, sur le modèle anglais. Comme d'habitude, on nous sert les mêmes arguments sur les « privilégiés » et « l'égalité républicaine » pour justifier la casse de droits acquis de longue lutte par les agents de la SNCF. Le piège est trop gros, ne tombons pas dedans.
Nous sommes des usagers de la SNCF et nous voulons qu’une grève générale illimitée ait lieu, en réponse à l’attaque historique contre les travailleurs du rail. Nous sommes disposés à mettre toutes nos forces pour qu’une telle riposte, que l’on n’a pas vue depuis trop longtemps, se prépare, s’organise, se répande et finisse par bloquer toute l’économie.
Emission de radio vivelasociale sur FPP 106.3, Un militant de SUD-Rail nous donne une idée de la colère accumulée des cheminots,puis une intervention au téléphone de Daniel Ibanez met le doigt sur les non-dits du rapport Spinetta sur le plan financier, puis fait le point sur la lutte, trop oubliée côté français, contre le projet TGV Lyon-Turin
Après le mouvement contre la première loi Travail (2016), nous avons travaillé à quelques pistes d'analyse. Il nous semble que ces analyses, comme quelques propositions, peuvent retrouver une actualité dans le moment politique que nous vivons. Nous les proposons ici telles quelles, laissant ouvertes les perspectives d'application possibles à l’avenir.
Les plates-formes Internet de type Uber font travailler pour leurs clients des transporteurs et des livreurs sous statut de travailleur indépendant, tout en leur imposant leurs conditions de temps de travail et de salaire. Emission de radio de Vive la sociale sur FPP 106,3.
Un animateur du blog « Où va la CGT ? » rappelle l'énorme dimension de ce problème pour le monde ouvrier au sens large, que ce soit traditionnellement dans l'industrie ou dans des secteurs autrefois moins touchés comme le commerce. Émission de radio Vive la sociale sur FPP 106,3.
Traduction d’un article d’Anathema, publication anarchiste de Philadelphie USA, paru en novembre 2017.
Déjà 83 jours de grève pour une douzaine de salariés travaillant à Holiday Inn et 140 jours pour 5 équipiers du Mac Donald de Villefranche-de-Rouergue. Avant eux, en 2016, une douzaine de factrices et facteurs de Rivesaltes avaient enchaîné sept mois de grèves. Comment font-ils ? Comment tiennent-ils ? Article paru sur Rapports de force
Les pratiques de refus du travail et de résistance sont vieilles comme l'exploitation mais regardons de plus près quel est le sens de l'anti-travail dans nos sociétés actuelles.
La mise en ligne en accès libre du film Merci les jeunes ! propose une réflexion critique sur le milieu associatif socioculturel à l’heure où le gouvernement déstabilise ce modèle d’organisation….
Mon humble opinion sur le cortège de tête parisien en cette année 2017. Points de vue et propositions.
La rentrée sociale a levé un certain nombre d'inquiétudes relatives à la convergence des luttes et à la constitution d’un front unitaire. Le propos qui suit défend l'idée que ce qui manque au mouvement social est, en premier lieu, un sujet révolutionnaire ; osons dire le mot : un prolétariat. Mais pouvons-nous seulement parler de prolétariat aujourd'hui ?
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