Analyse et réflexion

Répression - prisons

Affaire de la caserne Jourdan, combien de temps encore quelques traces frauduleuses d’ADN justifieront une détention provisoire ?

Alors qu'à travers la France les forces de l'ordre s'agitent férocement pour défendre le régime, S. dort en détention provisoire depuis le 27 mars 2018 à la Maison d'Arrêt de Limoges. Accusé d'avoir incendié des véhicules de la gendarmerie à la caserne Jourdan de Limoges, il est retenu pour quelques traces d'ADN frauduleusement obtenues. Seul élément à charge dans un dossier lourd de milliers de pages qui justifie pourtant de le garder à l'ombre. Y restera-t-il jusqu'à la fin de l'enquête, qui devrait durer plusieurs mois encore ?

Répression - prisons

Bure : malfaiteurs ? Alors j’en suis !

« Art.265 - Toute association formée, quelle que soit la durée ou le nombre de ses membres, toute entente établie dans le but de préparer ou commettre des crimes contre les personnes ou les propriétés, constituent un crime contre la paix publique. » Loi sur les Associations de Malfaiteurs, 18 décembre 1893 And the wind, the wind is blowing ... Le 20 juin 2018, 14 perquisitions sont menées sous commission rogatoire du juge d’instruction Kevin Le Fur pour les motifs suivants : [(« (...)

Répression - prisons

Construction de l’impunité des forces de l’ordre dans les affaires de violences policières

De Malik Oussekine à Adama Traoré, en passant par Ali Ziri et Lamine Dieng, la rédaction de LaMeute a décortiqué l'argumentaire policier utilisé pour se défendre des crimes commis par les forces de l'ordre. Jeter le discrédit sur la famille de la victime, falsifier l'état de santé de celle-ci, invoquer la légitimité des forces de l'ordre...

Répression - prisons

De la mort « annoncée » d’Adama, avant l’arrivée des gendarmes.

Les morts aux mains des policiers ou des gendarmes lors de leur interpellation étaient tous… de grands malades tels Mohamed Boukrourou, Ali Ziri et Adama Traoré. La justice française pour assurer l’impunité des forces de l’ordre, s’évertue à attribuer leur mort à des maladies, indépendamment des violences subies lors de leur interpellation avec pliage ou plaquage ventral.

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