
Pour un féminisme de la terreur
« On dirait qu’on a peur de casser le patriarcat radicalement ». Faut-il réactiver une pensée stratégique de la violence féministe ? Peut-on se satisfaire d’une lutte seulement symbolique ? Comment s’organiser entre femmes pour faire usage d’une violence qui permette de frapper au cœur le capitalisme patriarcal ?