Tout le monde déteste la répression policière
De la nécessite d'une position radicale sans ambiguïté sur la répression policière pour donner une chance au mouvement.
De la nécessite d'une position radicale sans ambiguïté sur la répression policière pour donner une chance au mouvement.
« Nous sommes des manifestant.e.s contre la loi Travail. [...] Nous écrivons ce texte en défense des personnes interpellées suite au feu de joie du mercredi 18 mai, dans lequel une voiture de police a disparu. [...] Si nous écrivons ce texte, ce n'est pas pour nous adresser aux juges de ce pays mais à vous que nous croisons tous les jours un peu partout. Méfiez-vous du prétendu bon sens des flics, des ministres et des médias. » Ce texte est une tribune libre en soutien aux inculpés du 18 mai. Il est la propriété de celles et ceux qui s'y reconnaissent.
Lors de la manifestation du 1er mai à Paris, les forces de l'ordre ont eu recours de manière intensive aux grenades dites « de désencerclement », occasionnant un grand nombre de blessé-e-s, dont certain-e-s gravement. C'est l'occasion de rappeler ce que sont vraiment ces grenades.
Dans le contexte actuel, il est plus qu'important de contre-balancer la propagande de l’État qui tend à nier les violences policières. Entretiens réalisés avec des personnes gravement blessées par la police.
Petit récit sans concession d'un recours contre une interdiction de manifester (dans le cadre d'un contrôle judiciaire accompagnant une mise en examen).
Le bulletin no 152, mai 2016 du petit journal mobile recto-verso A4 du réseau Résistons ensemble contre les violences policières et sécuritaires est sorti. Pour lire l'intégralité et télécharger ce bulletin mis en page au format pdf : http://resistons.lautre.net/spip.php?article562.
On s'est tous posé la question mais on n'a pas réellement de réponse. Que font les flics avec le maintien de l'ordre ? Si certaines techniques persistent, les flics semblent avoir abandonné quelques points importants, du moins à Paris.
La CGT publie une affiche-com' sur les violences policières et cela provoque un petit émoi médiatico-politique. Ah l'insignifiance ! Si une affiche plutôt banale peut être jugée assez « immonde » pour qu'on veuille la traduire en justice, qu'en sera-t-il de ces mots ? Voici une petite réponse à la lettre ouverte de Bernard Cazeneuve et aux autres déclarations …
Analyse de la répression du mouvement contre la loi Travail, source : Rebellyon.
Le bulletin no 151, avril 2016 du petit journal mobile recto-verso A4 du réseau Résistons ensemble contre les violences policières et sécuritaires est sorti. Pour lire l'intégralité et télécharger ce bulletin mis en page au format pdf : http://resistons.lautre.net/spip.php?article561.
Par les temps qui courent, ils, (nous ?) sont (sommes ?) nombreux-euses, à partir en manif, sauvage ou non, les mains dans les poches, et à les lever vers le ciel à la première matraque taché de sang, comme si un-e journaliste-ange allait vite alerter une divine opinion publique, qui saura, elle, parler d'une voix forte auprès des responsables, pour que s'arrête le « dysfonctionnement » des violences policières ... On arrête quand le délire ?
Le 22 février 2014 à Nantes, plusieurs personnes étaient gravement blessées par des tirs policiers sur la foule au cours d'une manifestation contre le projet d'aéroport à Notre-Dame-des-Landes. Cet entretien avec Quentin Torselli, blessé ce jour là à l'oeil, est le premier d'une série.
Version numérique intégrale et gratuite. Il n'est pas facile de lire 188 pages sur Internet mais le guide est avant tout un outil militant dont l'argent, qui pourrait manquer à certain-e-s, ne saurait arrêter la marche.
Analyse de l'État sécuritaire et de la manière dont il s'est construit et institutionnalisé depuis les guerres d'Indochine et d'Algérie.
Le bulletin n° 150, mars 2016 du petit journal mobile recto-verso A4 du réseau Résistons ensemble contre les violences policières et sécuritaires est sorti. Pour lire l'intégralité et télécharger ce bulletin mis en page au format pdf : http://resistons.lautre.net/spip.php?article560.
Récit du procès des inculpés le 22 février au tribunal de Boulogne-sur-Mer, suite à la manifestation du 23 janvier à Calais.
Après plusieurs années de déboires administratifs, compte-rendu des démarches engagées pour obtenir l'effacement des empreintes digitales (FAED) et génétiques (FNAEG).
Texte d'intention du collectif « Désarmons-les ! » qui s'est constitué avec la volonté de lutter contre les violences policières et sécuritaires.
La contestation actuelle de l'état d'urgence ne doit pas s’arrêter à la dernière couche sécuritaire d’un arsenal qui n'a cessé de se développer ces trente dernières années, au vu de l'explosion récente des condamnations à de la prison ferme pour apologie du terrorisme, suite aux attentats de l'année 2015.
J'ai déposé des bougies place de la République ... puis je les ai lancées
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