À lire ailleurs

Résistances et solidarités internationales

Au Gabon, face au soulèvement populaire, la Françafrique a encore sévi !

Le Gabon a été en prise à des « troubles post-électoraux », selon les mots repris dans la plupart des médias. Il s’agit en réalité d’une répression sanglante visant à mater la révolte provoquée par l’annonce des résultats officiels de l’élection présidentielle, qui s’est tenue le 31 août dernier. Analyse et communiqué de la CGA, par le groupe de Lyon

Migrations - sans-papiers

Shengencrashen Party

Deuxième round pour le No Border ActionDays ! L’Union Européenne continue d’ériger les murs de sa forteresse tandis qu’elle exploite, assassine, enferme ou marginalise implacablement, à l’intérieur et au-delà de ses frontières. La plupart d’entre nous cèdent au réflexe de fermer les yeux, pour fuir les violences racistes et capitalistes qui nous entourent. Reprenons nos vies en main et exprimons notre rage grandissante : organisons nous pour montrer notre croyance en un monde libre et égalitaire ! Shengencrashen party, du 27 au 30 Octobre à Aix La Chapelle.

Migrations - sans-papiers

Ni à la Zad ni à Calais

On entend via certains médias que la priorité du gouvernement ne serait pas d‘expulser la zad en octobre, mais « d’évacuer la jungle de Calais ». Les forces de l’ordre ne pouvant être sur ces deux fronts à la fois. Face à ce jeu d’un cynisme sans nom de mise en concurrence entre l’expulsion de la zad et celle de la jungle de Calais, le mouvement contre l’aéroport et son monde ne peut rester silencieux.

Médias

Nouvelle arme des CRS : quand Libé repompe (mal) une enquête publiée sur Rebellyon

En juin, l’apparition d’un fusil entre les mains des CRS inquiétait les manifestant·es contre la Loi Travail. Pour évaluer la menace, des membres du collectif Contrib avaient alors cherché son nom. Un article de Libération publié trois mois après reprend l’ensemble des infos publiées sur Rebellyon, sans lien ni citation, mais avec un gros oubli. Article tiré de Rebellyon

Salariat - précariat

Exploitation 2.0 : quand des patrons font passer leurs employés pour des travailleurs indépendants

À l’image d’Uber, de Deliveroo ou de Take Eat Easy, les entreprises qui n’emploient plus leurs personnels mais les font travailler comme auto-entrepreneurs se multiplient. Alors qu’elles entretiennent avec ces travailleurs des liens de subordination, elles les précarisent en se débarrassant de leurs devoirs d’employeur (cotisations, congés payés, chômage, couverture maladie, etc.). Après l’enquête sur la start-up lyonnaise Shoops et ses démarcheurs et démarcheuses sous statut d’auto-entrepreneur, des membres du collectif d’entraide à la rédaction de Rebellyon ont voulu cerner un peu mieux les enjeux de ces situations nouvelles avec la sociologue Sarah Abdelnour, l’une des rares à avoir étudié ce sujet.

Contrôle social

Pourquoi nous rejetons le citoyennisme

Que les choses soient claires, nous ne considérons pas notre positionnement sur cette question comme étant supérieur aux autres, ni comme le seul valable. Néanmoins, nous voulons apporter notre contribution au débat. Nous trouvons que la question du citoyennisme et des attitudes militantes qui s’y rapportent n’est pas, ou peu, posée frontalement (de même que d’autres questions, qui seront abordées dans de prochains textes), ceci sans doute par peur de faire tomber l’illusion de l’unité, et nous souhaitons faire la démonstration que la tendance hégémonique des discours emprunts de citoyennisme, loin de donner de la vigueur aux mouvements sociaux, les affaiblit considérablement.

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