Appel de l'assemblée de lutte pour Rémi : « Nous avons appelé à une manifestation ce dimanche à 15h à Stalingrad, le gouvernement l'a interdite, braver l'interdiction est la moindre des choses ».
Compte rendu de procès récents contre les « organisateurs » des manifs parisiennes de soutien au peuple palestinien qui avaient été interdites, et quelques participant·e·s qui avaient osé y participer.
En Ile-de-France, la solidarité s'organise pour mobiliser en réaction à la mort de Rémi Fraisse, pour dénoncer l'impunité policière, les violences de l’État et le système qui les porte. Le rassemblement de mercredi soir a été lourdement réprimé par la police. A venir : Grande manifestation dimanche 2 novembre - 15h00 à Stalingrad (Paris). Mise à jour samedi 1er novembre à 01h00 : Les gardes à vue suite au rassemblement de mercredi ont pris fin, des personnes ont été déférées au parquet. Au moins une personne sous contrôle judiciaire
Si ça n’est pas nous, qui ? Si ça n’est pas maintenant, quand ?
En vue du rassemblement de ce mercredi soir en réaction à la mort de Rémi Fraisse sur la ZAD du Testet, des collectifs appellent à s'y rendre casqué-e-s. Ce texte à visée plus large que ce seul rassemblement explique cette stratégie à la fois symbolique et pratique.
Près de 300 personnes étaient présentes à l'Assemblée à la Parole Errante.
Rassemblement mercredi 29 octobre 2014 à 19h sur le parvis de l’Hôtel de Ville de Paris
Nous, Pauline, Sarah et Yoan sommes convoquéEs pour être jugéEs devant le tribunal de Paris mercredi 29 octobre. Le motif ? « Organisation de manifestation interdite ».
Dimanche à 18h, une manifestation a été appelée place Saint Michel à Paris en réaction à la mort de Rémi Fraisse, 21 ans, vraissemblablement tué d'un projectile policier au niveau de la cage thoracique, alors qu'il se trouvait sur les lieux des affrontements entre gendarmes mobiles et opposants au projet de barrage à Sivens / Zone du Testet.
Nouvelle présentation du livre sur les violences policières, écrit par des familles et amiEs de victimes. En France, la peine de mort a été abolie en 1981, mais le permis de tuer existe toujours. Les violences policières et les crimes policiers rythment la vie des bidonvilles et des quartiers populaires depuis des dizaines d’années.
Rendez-vous de soutien à Romain, jeudi 09/10 au tribunal. Il est accusé d'avoir endommagé un distributeur de billets à Montreuil le 8 juillet 2009, un soir où la police avait arrosé la manif de flashball. Une personne avait perdu un œil.
Je tiens à vous faire part de la perte de la virginité de mon casier judiciaire. En effet, après 11 ans de lutte au sein de la Cip-Idf (entre autres), en ce jour du 20.09.2014, ma virginité vient de se faire défoncer par les autorités et ce, sans mon réel consentement.
Le mouvement contre l'accord sur l'assurance-chômage (qui concerne chômeurs, intérimaires et intermittents) commence à sérieusement agacer le gouvernement. Un des participants à l'occupation du Lutetia, jeudi 18 septembre, est trainé devant le tribunal correctionnel pour « violences en réunion ».
La feuille mensuelle du réseau contre les violences policières et sécuritaires revient notamment la totale flexibilité du gouvernement par rapport au MEDEF- Résistons Ensemble n° 133 / Septembre 2014.
Accusée d'avoir mordu un maton de Réau, le 5 mars 2014, le Tribunal Correctionnel de Melun condamne Christine à 1 mois ferme et 200€ de dommages et intérêts à verser au maton. Quelques jours après, le parquet, trouvant cette peine trop clémente, a fait appel. Vendredi 26 septembre à 13h30 Christine sera donc re-jugée à la Cour d'Appel de Paris (pôle 2 chambre 9).
Après cinq mois d'incarcération à Rennes, Christine, a connu un nouveau transfert disciplinaire fin juin. Elle est pour l'instant à Fleury-Mérogis, semble-t-il en attendant qu'une place se libère au Centre de Détention (CD) de Poitiers-Vivonne. Christine doit passer devant la Cour d’Appel de Paris le 26 septembre suite à l’appel du parquet sur son procès de Melun début mars 2014.
Le 29 juillet 2014, Dorel Iosif Floarea, un père de famille, était abattu par un policier de la BAC, à Montgeron, une petite commune de l’Essonne.
Lors de la manifestation du 26 juillet, la préfecture de police avait décidé de verrouiller la Place de la République à Paris après avoir interdit la manifestation. Nous avons tenté ici d'en faire un récit détaillé afin de sortir des « on-dit », des rumeurs teintées d'émotion et d'a prioris.
La manifestation de ce samedi 26 juillet est à nouveau interdite. Les préfectures multiplient les arrêtés tandis que la situation s'embrase. Malgré le matraquage médiatique, la solidarité gagne. A quoi joue le gouvernement avec ces interdits ?
Noria B. parle de la garde à vue de sa mère âgée de 60 ans, à cause de son engagement pour la Palestine.
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