Analyse et réflexion

Mondialisation et prolétariat (partie 2) : Comment la dette et la loi garantissent les bas salaires ?

Nous avons vu dans la première partie que dans les années 80 et 90 les capitalistes intègrent à leur chaîne d’accumulation des masses de travailleurs et travailleuses du tiers-monde. Nous allons voir comment la mondialisation s’est structurée avec l’endettement des pays pauvres et l’obstruction à la circulation des prolétaires pour générer des zones de travail intensif payés une misère.

Infos locales

La nature du Capital. Pour une écologie révolutionnaire [groupe de lecture de la revue Période]

Pour sa vingt-deuxième séance, le Groupe de lecture/revue Période (Paris) propose de s'intéresser au texte d'Andreas Malm, « Capital fossile : vers une autre histoire du changement climatique ».

Analyse et réflexion

La mondialisation et le prolétariat (Partie 1) : une restructuration du capitalisme.

A la fin du XXe siècle, le capitalisme se restructure en étendant le libre-échange à une échelle jusqu’ici inconnue : celle du monde entier. Alors que nous baignons dans une économie d’export globalisé, regardons de plus près pourquoi et comment la mondialisation s’est mise en place.

Infos locales

Rencontre avec Alain Deneault pour son livre Le Totalitarisme pervers

Peut-on parler de « totalitarisme » quand il s’agit de nommer le pouvoir des multinationales tel qu’il s’est construit et imposé depuis le début du xxe siècle ? Présentation-débat en présence de l’auteur, Alain Deneault // le jeudi 7 septembre dès 19h45 dans la librairie (23 rue Voltaire Paris 11e, m° Rue des Boulets ou Nation).

Infos locales

Sociologie marxiste de la bourgeoisie internationale [groupe de lecture de la revue Période]

Pour sa quinzième séance, le Groupe de lecture/revue Période (Paris) propose de s'intéresser au texte de William I. Robinson : « Théorie sociale et mondialisation : l’avènement de l’État transnational »

Analyse et réflexion

Se réserver pour Hambourg ? Encore un contre-sommet ?

Cette contribution se veut l'amorce d'une réflexion collective sur la pratique des contre-sommets et une réponse à « l'appel aux rendez-vous internationaux ». Elle affirme une autre voix que la position aujourd'hui hégémonique dans notre « milieu », qui semble oublier ses acquis en l'espace d'un mouvement social ; position qui nous paraît à plusieurs titres révélatrices de toutes les apories d'une pensée située entre sectarisme et prophétisme, rabâchant sans cesse les mêmes injonctions au vide, se satisfaisant d'une pseudo-récursivité de l'acte et semblant incapable de se remettre en cause.