[Bure] Formation : « Medic tout terrain »
Du 26 avril au 2 mai 2021, nous invitons toustes celleux qui souhaitent se familiariser avec la pratique medic dans des manifestations en milieu urbain et rural, près de Bure, dans le sud de la Meuse.
Du 26 avril au 2 mai 2021, nous invitons toustes celleux qui souhaitent se familiariser avec la pratique medic dans des manifestations en milieu urbain et rural, près de Bure, dans le sud de la Meuse.
En 1884, le choléra ravagea l’Italie, faisant des milliers de morts. Malgré une peine de trois ans de prison planant au-dessus de sa tête, Errico Malatesta se joignit à d’autres anarchistes révolutionnaires pour une mission audacieuse à Naples - le cœur de l’épidémie – dans le but de soigner celleux qui souffraient de la maladie. Ce faisant, lui et ses camarades démontrèrent l’existence d’une alternative aux politiques coercitives de l’État qui reste pertinente aujourd’hui à l’ère du COVID-19. Texte trouvé sur Numéro Zéro, publié initialement par Crimethinc
Blog créé à l'instauration du confinement, à l'heure où nous étions prêts à nous confiner avec sagesse et solidarité, tentative de se décaler d'un état d'urgence sanitaire qui ne se lèvera pas de si tôt. dernieresnouvellesdelapeste.noblogs.org
Depuis une quinzaine de jours, des mesures restrictives sont appliquées par le président de la République par rapport à la « crise sanitaire » que traverse la France. La réduction des déplacements au « strict nécessaire » constitue la décision phare annoncée par le chef de l’État dans son allocution du 16 mars dernier. Le patriotisme et le nationalisme sont également largement mis en avant par le chef des forces armées qui ne manque jamais une occasion de réaffirmer son autorité.
Entretien avec un médecin effectué par Lundi matin qui permet de comprendre un peu ce qui se passe d'un point de vu médical. Y sont évoqués le professeur Raoult, la recherche médicale et l'incurie de l'État...
Deuxième semaine de confinement (à double vitesse) : partout en France, et dans une grande partie du monde, la crise sanitaire annonce la crise sociale.
Comment comprendre les multiples crises (sanitaire, politique, économique) que le coronavirus engendre ? Un article initialement publié sur Agitations.
Si l’on en croit la multiplication des analyses médiatiques allant dans ce sens dernièrement, l’épidémie de COVID-19 serait bonne pour la planète. Le principal bénéfice écologique évoqué se rapporte à la baisse d’1/4 des émissions chinoises de CO2 sur les deux derniers mois [1], dont les effets positifs sont évidemment climatiques mais aussi sanitaires. L’intérêt autour de cette réduction de la pollution émise par la deuxième puissance mondiale a notamment été renforcé par des images satellites de la NASA illustrant très nettement le phénomène. Quelques articles plus rares mentionnent quant à eux les effets positifs pour la biodiversité de la très récente interdiction par la Chine du commerce et de la consommation d’animaux sauvages [2]. Malgré ces éléments qui semblent univoques, voir des bénéfices pour la planète dans l’épidémie en cours n’est en aucun cas un positionnement écologiste. Revenir aux conditions sociales de la production de l’épidémie ainsi qu’aux principales propositions écologistes permet de s’en convaincre. Il y a assurément une grande différence entre considérer que l’épidémie de coronavirus est en elle-même écologiquement positive et tirer (ou plutôt confirmer) des enseignements écologistes à partir des effets économiques de celle-ci.
Traduction du texte de la revue Chuang par le blog Des nouvelles du front, qui présente un article aussi long qu’intéressant sur l’histoire des liens entre épidémies et production, sur la réponse actuelle de l’État chinois et sur le coronavirus comme symptôme des logiques contemporaines d’accumulation du capital. Faut s’accrocher, ça se lit en plusieurs fois mais ça vaut vraiment le coup.
Un témoignage d’une habitante de Bergame, en Lombardie, désormais considérée comme épicentre du coronavirus dans le monde, et alors que le pic de contamination semble s’éloigner dans le temps [1]. S’il est proposé ici, c’est que l’on sait que ce qu’il se passe en Italie a un décalage d’une grosse semaine avec ce qu’il se passe en France, pour des mesures semblables et des retards conséquents dans les prises de conscience et de décision. Avoir donc un regard depuis l’intérieur peut peut-être aider à réaliser le caractère sérieux de la situation.
Le site Acta, propose un suivi des différentes résistances et solidarités qui existent au sein de la population à l'heure de l'état d'urgence sanitaire.
Un texte sur la situation italienne pendant le confinement dut au coronavirus, traduit par dijoncter.info Nous sommes en train d’organiser la solidarité dans notre quartier, en distribuant du désinfectant, en nous mettant à disposition pour faire les courses des anciens, en cherchant à ne laisser personne seul, comme le font la plupart des gens dans ce pays : pas après pas, lieu après lieu. Mais le mutualisme ne peut pas suffire, nous devons trouver le moyen de prendre la parole.
Une interview d’E. à propos des violences obstétricales. Des pratiques à combattre, méconnues et pourtant beaucoup trop répandues. « E. n’avait pas peur d’accoucher, même si la douleur a été plus violente que ce à quoi elle s’attendait. Couchée sur le lit à partir de 9h du matin, elle en est descendue à 5h du matin le jour d’après. Elle est donc resté attachée au lit pendant 20 heures alors que pour une approche physiologique de l’accouchement, de nombreuses sages-femmes préconiseraient (...)
Après la coordination parisienne, voici un appel à soutenir les Street Medics de Nantes. Liste des besoins détaillés ci-dessous dans l'article !
En ces temps agités, pas un jour ne se passe sans que l'on tente de nous intoxiquer ici ou là à coup de gaz lacrymogène. Le site lundi matin nous expliquait il y a quelques temps déjà comment nous en prémunir.
Les anti avortements ont sensiblement évolué ces dernières années, en lissant leurs discours publics et en se faisant discrets pendant que la Manif Pour Tous assurait le spectacle... Mais leurs méthodes sont restées les mêmes : désinformation, mensonges et propagande. Cette fois ci c'est un prétendu lien entre cancer du sein et avortement qui est avancé dans un tract des anti-IVG et démonté dans le texte ci-dessous.
Création d’un site voulant rassembler les alternatives, réflexions et luttes autour du travail social et de la santé.
Un nouveau site (www.sansremede.fr) pour lire tous les articles en ligne et un nouveau numéro qui élargit son propos aux emprises des champs médicaux et sociaux sur nos vies tout en continuant à tirer à vue sur la psychiatrie.
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