
La Cour de cassation se penche sur le « permis de tuer » dans la confusion
Le 4 avril, la plus haute juridiction française doit examiner l’affaire Luis Bico. Elle risque fort de maintenir le flou sur l’application de la loi votée en 2017. Pourtant, sept ans et cent morts par balle plus tard, il semble temps d’encadrer enfin l’usage des armes. Article de Flagrant Déni paru sur Rebellyon