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Répression - prisons

PS et préfet veulent la tête de « Nuit Debout Lannion »

À Paris, Manuel Valls utilise une troisième fois le 49.3 pour faire adopter définitivement la loi Travail, au mépris des positions passées de son parti sur cette disposition constitutionnelle comme sur la hiérarchie des normes. Dans les Côtes-d’Armor, les cadres du PS donnent des leçons de démocratie à « Nuit Debout Lannion » après son défilé carnavalesque et révolutionnaire du 14 juillet. Dans le rôle du gendarme dans Guignol, le préfet des Côtes-d’Armor, Pierre Lambert, qui compte interdire les manifestations du mouvement et assommer financièrement ses participants.

Répression - prisons

Après Nice

Neuf mois d’état d’urgence. Neuf mois de perquisitions, d’interdictions de manifester, de restrictions de libertés. 5 000 policier.e.s et gendarmes recruté.e.s, 2 500 postes supplémentaires pour la justice et sa sinistre administration pénitentiaire. 736 millions d’euros dépensés, au point où l’Union Européenne accepte d’assouplir ses règles concernant le déficit budgétaire de la France pour la soutenir dans sa lutte contre le terrorisme.

Répression - prisons

[Nantes] État des lieux de la répression judiciaire du mouvement contre la loi travail

A Nantes, les évènements contre la « loi Travail et son monde » ont été intenses depuis le mois de mars. La répression l'a été tout autant. A l'image de la Défense Collective parisienne, la « Legal Team » nantaise suit de près les arrestations et procès. Dans ce document, la « Legal Team » s'évertue de dresser au mieux un bilan précis de la répression judiciaire depuis le début du mouvement jusqu'au 30 juin 2016. État des lieux...

Répression - prisons

Du centre de rétention administrative de Nice

Lettre de Andrea, Rafael, Vincenzo et Arturo, militants arrêtés suite à l’occupation d’un ex-poste de douane à la frontière franco-italienne de Breil-sur-roya. Cette occupation avait pour but de transformer ce sinistre endroit en un lieu de rencontre et d’organisation contre les frontières et ce qui va avec. Les quatre camarades/compagnons ont reçus un décret d'expulsion d'un an de la France. Voici la lettre qu'ils ont rédigée depuis le centre de rétention de Nice où ils attendent leur expulsion.

Répression - prisons

Chronique d’une banale garde à vue

Interpellé le dimanche 1er mai 2016 mai puis placé en garde à vue, je vais vous relater mon expérience. Je n'ai pas ici la volonté de me victimiser ni d'attiser quelque haine que ce soit, je souhaite uniquement lever le voile sur le comportement banal, anodin, quotidien de la police ainsi que sur la façon dont sont traitées les personnes gardées à vue. Je suis conscient que ma garde à vue s'est relativement bien passée si on la compare avec celle d'autres personnes, je tiens malgré tout à témoigner car trop peu de gens le font.

Répression - prisons

Sans « oui, mais... »

« Des saloperies de voitures de flics, il en crame depuis des décennies. Et il en cramera encore. C’est ainsi et c’est tant mieux. Pour ma part, j’espère qu’une bonne âme voudra bien se décider à me saccager, à me caillasser, à me caraméliser le moteur, à me désosser et me revendre en pièces détachées, à me faire flamber, à m’épargner le terrible poids d’autres arrestations... » Anti-terrorisme : la dépanneuse [de police] raconte !, Indy Nantes, 25 novembre 2008

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