Infos locales

Répression - prisons

Justice pour Théo - Solidarité avec Aulnay

Nouveau rendez-vous mercredi 8 février, 18h, Ménilmontant en solidarité avec les habitants d'Aulnay et pour réclamer la justice pour Théo et tous les autres. Mise à jour 22h30 : Déploiement policier totalement incroyable à Ménil'. Le quartier est bouclé. Grande nasse plus ou moins lâche autour du métro Ménilmontant. Sur la place, des poubelles sont brûlées. Ratissage policier. Finalement la contestation se déporte à Belleville où des baqueux qui essayent d'interpeller un journaliste indépendant se font sortir par la foule. « Il est où ton brassard ? » « Flic, violeur, assassin ! » Repli des keufs en civil et départ en manif' sauvage rue de Belleville avec pas mal de CRS dans le dos. Des poubelles sont renversées pour ralentir les flics et la manif a tourné avenue Simon Bolivar.

Répression - prisons

La police tire à balle réelle contre les émeutiers d’Aulnay : Rassemblement du mardi 7 février à Ménilmontant

La nuit a été chaude à Aulnay consécutivement à la « bavure » policière contre Théo et son témoignage montrant le caractère sadique et raciste de ces violences. Cette nuit des affrontements ont émaillé la soirée. Affrontements qui se sont soldés par des tirs à balles réelles de gendarmes. Mise à jour, 22h : Après plusieurs tentatives de rassemblement autour du métro Menilmontant, une manifestation un peu conséquente a pu partir. Environ 150 personnes ont descendu la rue Jean-Pierre Timbault très vite rejoint par des gens, notamment des passants. La manifestation sauvage s'est terminée dans le 3e arrondissement harcelé par les flics. Pas mal de dégats (banques, agences immobilières). Plusieurs arrestations avec violence ont eu lieu. Des plaquages au sol et des gazages. Globalement les flics l'ont joué plutôt fine en nous empêchant de nous rassembler pendant toute la soirée. On reviendra et on sera plus fort.

Répression - prisons

Emmaüs, répression et solidarité avec les migrant-es, 2 poids - 2 mesures

Le lundi 6 février, plusieurs personnes passeront en procès en appel au TGI de Paris parce qu’en août 2015 elles sont allées rendre visite à des migrant-e-s en grève de la faim contre leurs conditions d’hébergement dans le centre Emmaüs Solidarité de Pernety dans le 14e arrondissement. Des personnels du centre, soutenus par Emmaüs solidarité qui, main dans la main avec la ville de Paris et la préfecture, ont instrumentalisé ce qui n’a été qu’un banal acte de solidarité, ont porté plainte contre ces camarades, les accusant de séquestration.

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