À lire ailleurs Dans nos campagnes la police se lâche. Avec ou sans masques, avec ou sans papiers, nous détestons toutes la police.
Die : Un pote sans-papiers a été violemment interpellé mercredi matin au marché, après que les gendarmes aient tenté de le contrôler et verbaliser pour non-port du masque. On entend déjà commenter, analyser, baver sur ce qui s’est passé, avec plus ou moins de pertinence et de proximité avec la vérité : le pote aurait des troubles psychiques, quand on est dans sa situation on a plutôt intérêt à raser les murs et fermer sa gueule, il a vraiment déconné sur le coup, quand on fonce dans un mur on se le prend... La liste pourrait s’allonger, la liberté de commenter étant bien une des dernières qu’on nous concède pleinement.