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jeudi 12 mai 2016

mercredi 11 mai 2016

À lire ailleurs

Lyon répond au 49.3 par la manif sauvage

Alors qu'à Paris, l'essentiel de la rage a été canalisée devant l'assemblée nationale par les flics à grand renforts de nasses successives de plus en plus larges et agressives (voir le suivi de la manif parisienne), les manifestants à Lyon ont pu manifester joyeusement et de manière déterminée pendant plusieurs heures, ciblant au passage quelques symboles fort de la loi Travail et de son vieux monde. Retrouvez également dans cet article les récits des manifestations spontanées à Toulouse, Marseille et Tours ainsi qu'une liste des rassemblements à travers la France.

Infos locales

Avec ou sans-papiers, on s’est invitéEs à la « fête » de la mairie

Juste trois jours après l'expulsion du lycée abandonné Jean Jaures, occupé par 300 migrants dans le centre ville de Paris, la maire de la Ville, Anne Hidalgo (PS), a lancé, à l'heure de la “Fête de l'Europe”, un débat intitulé "Europe - réfugiés : un test de solidarité ?". Une hypocrisie qui ne pouvait pas se dérouler sous silence. Nous sommes donc plus de 300 (migrant-E-s, personnes solidaires, collectifs de sans papiers et participant-e-s à Nuit Debout) à nous être invitéEs à l'événement.

Analyse et réflexion

En défense du fracassage de caméras

In Defence Of Smashing Cameras NdT : Cet article, qui a plutôt tourné sur les médias anarchistes anglophones à l'étranger, me paraît être une intéressante contribution à un débat également engagé en France depuis le début du mouvement contre la loi Travail (quelques liens plus bas), sur internet mais aussi dans la rue à propos de la prise de photos et de vidéos de personnes réalisant des actions directes. La rapacité des journalistes et free-lance s'accroît, il est temps de s'organiser pour les empêcher de nuire. Par l'obstruction, par le dialogue, comme par la peinture en spray, les brises-vitre, les massettes ou plus simplement le vol ou la projection au sol. Heureusement, quelques habitudes commencent à se prendre… [1]

Analyse et réflexion

On est là où on se sent utile. Suite à « Place de la République : l’insurrection qui se perd »

Si des anarchistes, toto, squatteurSes, anticapitalistes, antifas et révolutionnaires de tous les pays ne sont pas à République c'est un choix assumé. Y voir un dédain ou un purisme révolutionnaire est une explication bien réductrice de leurs positions. Et comparer ce dédain fantasmé au mépris qu'on les patrons face aux ouvriers est injuste. Les employeurs dominent leurs employéEs mais les révoltés qui boycottent République n'impose un pouvoir à personne.

mardi 10 mai 2016

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