
Du radicalisme médiatique considéré comme un repas de famille
Peut-on, quand on est sur des positions anarchistes et/ou communistes, critiquer des figures de la radicalité médiatique comme Juan Branco, François Ruffin ou Frédéric Lordon sans se faire taxer d'élitisme ou se voir accuser de « diviser » ce qui serait - presque - notre camp ?