Brèves

Val-de-Marne : blocus lycéens contre les violences policières et affrontements à Fresnes et à Cachan

Infos locales

Repas de soutien au collectif 8 juillet

Vendredi 10 mars, à la nouvelle rotisserie (proche Belleville), le collectif 8 juillet organise un repas pour rembourser les frais d’avocats passés, la venue des témoins, pendant le procès qui s'est tenu à Bobigny en novembre dernier.

Infos locales

Vendredi 10 mars : deuxième apéro-discussion autour de l’affaire de l’attaque d’une voiture de flics le 18 mai 2016

Suite à un premier apéro le jeudi 23 février, où plus de 80 personnes se sont réunies pour discuter de la solidarité autour des inculpé-e-s de la voiture de flics brûlée, un deuxième moment d'échange d'informations et de discussion autour de la solidarité aura lieu le vendredi 10 mars 2017 à 18h à Montreuil.

Infos locales

Violences policières au Lycée Suger (Saint-Denis) : un lycéen et trois étudiants de Paris 8 interpellés

Interpellation de 3 étudiants de Paris 8 et 1 lycéen au lycée Suger à Saint Denis suite au rassemblement de soutien des 55 gardes à vue suite au #BlocusPourThéo

Brèves

Lycée Bartholdi (Saint-Denis) : un flic gifle un élève le matin, 3 gardes à vue l’après midi.

Analyse et réflexion

Lettre à Théo

J'ai eu besoin d'écrire cette lettre par ce que ça m'a pas mal remué et comme à chaque fois que j'entends que quelqu'un a été gravement blessé par la police je me demande ce que la personne va vivre. Je ressens déjà les tourments qui approchent. Et à chaque fois je me dis, moi je m'en suis sortie, je suis sure qu'il y en a encore beaucoup qui galèrent avec ça, pas forcement une souffrance extreme peut être juste passagère, qui harcele. Bref j'ai écrit pour me libérer de ce poids (de ne pas être là, ne pas être presente pour l'autre, par ce que le moindre signe de soutien réconforte). Je me souviens que quand tout ça m'est arrivé je comprenais rien, j'avais honte d'avouer que tous mes troubles étaient liés à cette agression... Que l'acte d'un flic ait eu autant d'impact sur moi.