
Les camionnettes sur le toit !
Point de vue sur les 3, 16 et 30 janvier à venir.
Point de vue sur les 3, 16 et 30 janvier à venir.
Suivi de la manif du 12 décembre, 14h30 place du Châtelet en direction de République. Numéro de la coordination anti-répression : 07 52 95 71 11. Les avocat·e·s de la journée : Xavier Sauvignet du barreau de Paris, et Coline Bouillon du barreau de Créteil.
Par trois décrets sortis la semaine dernière, le gouvernement vient d'autoriser la police à ficher les personnes en fonction de leurs opinions politiques, leurs convictions philosophiques, religieuses ou leur appartenance syndicale.
En arrivant dans la manif, premier constat, flagrant : les flics n'ont pas l'intention de nous laisser la rue aussi facilement que la semaine dernière. Des gendarmes mobiles (GM) encadrent le cortège des deux côtés. Mais, s'il n'y avait pas autant de monde que la dernière fois, l'intervention du cortège était aussi déter. Jets de peinture flashy, feux d'artifice flamboyants, pétards et fumigènes ont tenu les flics à distance pas mal de fois. Finalement nous pouvons dire qu'à nouveau, nous avons réussi à tenir la rue, et à y faire ce que bon nous semble.
Surveillance globale, fichage, répression, surenchère islamophobe... Nous serons bien évidemment présent.e.s à la manif du Samedi 12 décembre 2020 place du Châtelet, contre la loi Sécurité Globale, contre la Loi Séparatisme, contre le fichage des opinions politiques, contre le monde encore plus merdique que prépare la Macronie.
Point de vue sur l'après-midi d'un 28 novembre à Paris.
Suivi de la manif contre la sécurité globale du 5 décembre, 14h30 Porte des Lilas. Numéro de la légal team : 07 52 95 71 11 (pour les urgences, sinon stoprepression@riseup.net). Avocat·es de la journée : Alice Becker, Henri Braun (barreau de Paris).
Un nouvel appel est lancé pour le samedi 5 décembre 2020, Porte des Lilas. Le gouvernement continue dans l'enfumage avec son annonce d'une réécriture de l'article 24 pour compenser l'indignation corporatiste des journalistes et autres droitdelhommistes en carton. Contre l'avènement d'une technopolice d'ici les JO 2024, nous nous devons d'envoyer un signal fort aux apprentis sorciers de la société de surveillance globale.
Le Covid-19 a bon dos. Nos espaces de liberté reculent et c'est un euphémisme. Pendant ce temps, l'injonction à travailler, quel qu'en soit le coût, est martelée matin, midi et soir... Un appel à désobéir et à contre-attaquer.
Bravons le couvre-feu. Un rdv : SAMEDI 20H CHÂTELET Une raison simple : « On brave le couvre feu car c'est idiot de faire peser sur nos vies le fait que Macron ne mette pas assez d'argent pour la santé »
Le groupe Salvador Seguí (Fédération Anarchiste) organise une projection/débat le vendredi 18 septembre à 19h, à la librairie du Monde libertaire - 145 rue Amelot - 75011 - Paris (M° République). Film de Patrick Rotman : 13 mai 1958 : le retour du général
Le nouveau maire PS Matthieu Hanotin joue monsieur muscle à Saint-Denis. Un rassemblement a lieu à l'initiative de collectifs locaux jeudi à 18h30 devant l’hôtel de ville de Saint-Denis.
Extrait de l'abécédaire de Merejkowsky sur le coranovirus (je ne me tais pas)
Le texte « Abolir la police et le monde qui l'a créée » qui suit « fait éclater les différences entre la récupération néolibérale de la politique abolitionniste et ce que signifierait une véritable adhésion à l'abolition ».
Dans peu de temps, la seule activité autorisée par l'État sera le travail, saupoudré d'un peu de consommation, entre les menaces d'une police raciste et brutale en roue libre et la surveillance d'une technopolice sans limites. Il faut s'y préparer et contre-attaquer. Retrouvons-nous dans la rue le 11 mai, puis le 12, puis le 13…
Alors qu'avec le prolongement de l'état d'urgence, l'exécutif a donné au Sénat et à l'Assemblée nationale un os à ronger, pour les sortir du coma, en les associant pleinement à ce qui s'apparente de plus en plus à une dictature, il nous a semblé important de les interpeler directement et individuellement. Nous n'en attendons rien si ce n'est de replacer le prolongement à venir de cet état d'urgence dans la longue lignée des hauts faits du personnel politique.
Car on est toujours mieux armé-es avec de l’expérience, je [1] vous partage le récit de mon premier contrôle sous le confinement à Paris. J'espère en lire d'autres, qu'on sache mieux quelles marges de manœuvre il nous reste dans cette nouvelle normalité.
AntiCoronapolice souhaite alerter sur la répression policière et les restrictions des libertés en période de confinement : garder trace, diffuser, sensibiliser. L'état d'urgence sanitaire renforce la répression ciblée de certaines populations, alors même qu'elles sont les premières victimes de la catastrophe sanitaire et sociale en cours. Ne participe pas à l'impunité de la police. Ne joue pas au flic. Ne propage pas le Coronapolice. Ne détourne pas le regard. Témoigne. Partage. Sensibilise. Pratique la solidarité.
La police fait son travail pendant le confinement. L'occasion pour eux de faire leurs sales besognes de sadiques avec de plus en plus de zèle. Article qui compile quelques unes des nombreuses violences racistes qui s'abattent sur les quartiers populaires. Ca fout la rage. ACAB.
Les communes d’Asnières, Puteaux, Suresnes, Aubervilliers, mais aussi de Nice, Poitiers ont décrété un couvre-feu. Il convient de démasquer ce simulacre : en aucun cas il ne s’agit d’une mesure efficace contre l’épidémie, mais bien d’une mesure sécuritaire visant à nous faire courber l’échine.
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