
Ode au paveur des Gobelins
En nous promenant lundi soir, entre l'université de Tolbiac et la rue Mouffetard, nous avons trouvé un sac de pavés. Ces cubes de granit, négligemment abandonnés devant un établissement bancaire, ont fait naître de jolies vocations. Une heure durant, dans le ciel de Paris, comme toujours sans étoile, ces pavés ont illuminé notre chemin. La manifestation fût sauvage, belle et spontanée. Nous en sommes revenu.es chargé.es d'élans poétiques.