
Solidarités et luttes pour la liberté de circulation : sabotons la machine à expulser
Le 23 juin 2017 se tient le procès de 4 personnes accusé-es de collage d'affiches et de tags contre des entreprises collaboratrices de la machine à expulser les sans-papiers ainsi que de refus de prise d'ADN. Ces actes qualifiés de « dégradations » ont été accomplis en 2010 dans le cadre de la solidarité avec dix sans-papiers accusés d'avoir brûlé le centre de rétention de Vincennes le 22 juin 2008, suite à la mort d'un retenu, Salem Souli.