Un paysan basque avait pris du sursis après un rassemblement et avait été condamné en 2009 à 500 balles d’amende pour avoir refusé de donner son ADN. Sa demande d’appel avait été rejeté.
Jeudi 22 juin, la Cour européenne des droits de l’homme a considéré que les conditions de prélèvement et de conservation de l’ADN en France (de 20 à 40 ans) étaient une violation du respect de la vie privée.
C’est cool au bout de six ans de procédure ! Mais surtout cela devrait forcer la France à changer sa législation actuelle sur le sujet.
Info trouvée sur Sud Ouest
Sur le sujet on pourra aussi (re)lire la brochure Du sang, de la chique et du mollard !