Lettre de Thomas P., Gilet jaune incarcéré depuis le 12 février
Après l’acte XIII, le 10 février sur les journaux paraissait le nom de Thomas P., figure du « super casseur ». Mais depuis c’est le silence. Cela fait trois mois qu’il est enfermé à Fleury-Mérogis, en préventive, sous le coup d’une instruction criminelle. Pour que son isolement cesse, Thomas nous a fait parvenir une lettre écrite en cellule qui revient sur les raisons qui l’ont amené à se battre aux côtés des Gilets jaunes.