Les flics dénoncent “la pression migratoire”, ils appellent “tous les citoyens à se rassembler [...] pour la survie des emplois et la sécurité des calaisiens” : crise économique (“le flux de migrants entraîne l’économie locale dans une crise sans précédent et les entreprises sont menacées“, “une prévisible délocalisation d’entreprises, une baisse conséquente de l’activité commerçante, une baisse drastique de l’activité portuaire“), sécurité et délinquance des migrants, problèmes psychiques et sociaux chez les policiers (“Les indicateurs des facteurs psychosociaux, dépressions, divorces, arrêts maladie, attestent du malaise“), violence des soutiens (“les associations de « No-Borders » qui ont initié la stratégie de l’anonymat pour que les auteurs d’outrages et rebellions ne puissent être identifiés“), tout y passe.
Ils demandent des “moyens policiers supplémentaires” et “des mesures de la part de la communauté européenne“, dénonçant les “mesurettes” franco-britaniques.
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