« Jeunesses au Kurdistan », soirée de retour d’une délégation étudiante
Une délégation de Solidaires étudiant-e-s s'est rendue au Kurdistan durant 3 semaines. Elle revient et a plein de choses à raconter.
Une délégation de Solidaires étudiant-e-s s'est rendue au Kurdistan durant 3 semaines. Elle revient et a plein de choses à raconter.
Le 7 mai 2015, des manifestant-e-s de la ville de Mahabad (région kurde iranienne) se sont rassemblés devant l'hôtel où est morte une femme de chambre, Farinaz Khosravani, en tentant d'échapper à son violeur, un membre du ministère des renseignements iraniens. La répression de la manifestation a fait au moins deux morts, plusieurs blessés graves et plus de 700 arrestations.
Il aura fallu la disparition des 43 étudiants militants d'Ayotzinapa en septembre 2014 pour mettre une fois de plus en lumière les abîmes d'atrocité de la répression politique dont se rend coupable l'État mexicain. Ce qui ne semble pas embarrasser l'État Français qui s'apprête à recevoir le président Enrique Peña Niet.
« La répression directe, les rafles, la surveillance, la police militarisée, l’espionnage, la prison reviennent : les anarchistes sont la cible d’une persécution nationale et internationale. Depuis les tranchées de cette prison, j’élève ma voix pour aboyer ma rage et montrer mon mépris pour les porcs policiers soumis au système capitaliste, autoritaire et brutal », écrivait Mario González depuis la prison, quelques mois après son arrestation.
Bilan après la manifestation du 1er mai à Milan contre l’ouverture de l’Exposition Universelle qui se tient cette année dans cette même ville autour du thème de la nourriture et du système agro-alimentaire.
La Papouasie occidentale est une des plus grandes réserves de forêts vierges, où vivent de nombreux peuples non contactés. C'est aussi une zone de conflit depuis que l'Indonésie a prit le contrôle du territoire dans les années 1960. Tant que le gouvernement indonésien n'aura pas levé ses mesures répressives de restriction de l'accès à la Papouasie, les soldats et la police indonésiennes pourront continuer de tuer, arrêter et torturer les Papous en toute impunité. Supportons les luttes locales, exigeons l'ouverture par le gouvernement indonésien de ce territoire aux soutiens, journalistes, militants des droits de l'homme. Rassemblement, Mercredi 29 avril à 12h, Place du Trocadero, Parvis des droits de l’homme.
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