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Nous, intermittent-e-s, précaires, étudiant-e-s, salarié-e-s, nuit deboutistes, zadistes, chômeur-se-s, postier-e-s avons investi la salle Richelieu de la Comédie Française

Communiqué des occupant-es de la Comédie Française le 27 avril 2016 : Nous, intermittent-e-s, précaires, étudiant-e-s, salarié-e-s, nuit deboutistes, zadistes, chômeur-se-s, postier-e-s avons investi la salle Richelieu de la Comédie Française et fait annuler la représentation d’hier soir. Cette initiative dénonce les violences policières qui ont eu lieu devant le théâtre de l’Odéon lundi soir et mardi. Il est inacceptable qu’un lieu public et culturel soit assiégé par les forces de l’ordre : nous exigeons l’ouverture de ce théâtre.

Analyse et réflexion

Pas de droit du travail sans droit au chômage !

Texte de la Coordination Intermittents Précaire d'Ile-de-France (CIP IDF). Dissipons un malentendu. Ni tout à fait imbéciles ni tout à fait naïfs, nous n’avions pourtant pas compris ce « Notre ennemi c’est la finance » adressé peu avant la dernière alternance politique à un électorat populaire alors instamment sollicité. Ce n’est qu’avec les actes qui ont suivi ces paroles que l’énoncé a pris sens. Il fallait simplement prolonger la phrase : l’ennemi dont il était question, c’était « la finance »… des pauvres, des précaires et des salariés. Eh oui, le « changement » c’était ça, et pas autre chose :

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