
Rencontre autour du roman « Cartographie de nos bleus »
Parce qu’il y a trop peu de mots contre les violences conjugales, parce que les statistiques sont effarantes, et que les chiffres ne disent pas les vies malmenées, le deuil des disparues, la force des survivantes. Parce que dans l'élan du mouvement #metoo, il faut continuer de parler de toutes les violences masculines faites aux femmes, pour mieux s'en défaire.