En soutien à la caisse de grève des femmes de chambre et des équipiers de l’hôtel Campanile de Suresnes en lutte depuis le 19 août
- pour l’amélioration de leurs conditions de travail ;
- pour une augmentation de leur rémunération ;
- contre un licenciement brutal.
Epuisé-es, maltraité-es, les 16 grévistes ont subi des attaques de plus en plus violentes de la part de la direction dont des interventions de la police et la garde à vue de deux personnes pour « agression sonore ».
Les revendications : augmentation des salaires, prime exceptionnelle de 1300 euros, meilleures conditions de travail, arrêt du management délétère, respect des représentant(e)s.