Brèves

Caisse de solidarité avec Laurent, mutilé par la Police

Analyse et réflexion

Un monde à retravailler : chronologie du mouvement contre la loi travail ?

Notre collectif produit quotidiennement une émission de radio d'une heure de 12h30 à 13h30 : L'actualité des luttes sur Fréquence Paris Plurielle 106.3FM. Nous invitons les protagonistes à la base des luttes, mais aussi les auteurs de livres, d'écrits critiques, ainsi que différents artistes d'expression culturelles engagées. Nous partons de la réalité des mobilisations et de leur complexité, afin d'en dégager les perspectives qui permettront d'avancer vers un monde débarassé du racisme, du sexisme et du profit.

Infos locales

Manif à Calais en solidarité avec les migrants, départs de Paris

Le cadre unitaire « Migrants bienvenue ! » a décidé d’organiser une mobilisation sur Calais le samedi 1er octobre 2016, en lien avec les migrants de la jungle, les organisations locales et les réseaux britanniques de solidarité. Interdite par la préfecture, la manifestation a été maintenue par les organisateurs et des bus sont bien partis de Paris. 16 h 20 : Bloqués par la gendarmerie sur l'autoroute, les 4 bus partis de Paris ont été contraints de rebrousser chemin sans même avoir réussi à atteindre Calais.

Infos locales

« Touche pas ma ZEP ! » : appel à tous les personnels des lycées en éducation prioritaire

Le jeudi 29 septembre, une première journée de grève commune à tous ces lycées (avec des actions locales : communication auprès des parents et des élus, occupation de lycées…) sera organisée pour exiger la mise en place d'un statut et d'une carte élargie de l'éducation prioritaire pour les lycées avec la garantie d'effectifs limités, de moyens supplémentaires et de compensations spécifiques pour l'ensemble des personnels, assurant ainsi la stabilité des équipes. Un préavis de grève a été déposé pour le 29 septembre par les organisations syndicales CGT, FO, SNEP, SNES, SNUEP-FSU et Sud.

À lire ailleurs

Exploitation 2.0 : quand des patrons font passer leurs employés pour des travailleurs indépendants

À l’image d’Uber, de Deliveroo ou de Take Eat Easy, les entreprises qui n’emploient plus leurs personnels mais les font travailler comme auto-entrepreneurs se multiplient. Alors qu’elles entretiennent avec ces travailleurs des liens de subordination, elles les précarisent en se débarrassant de leurs devoirs d’employeur (cotisations, congés payés, chômage, couverture maladie, etc.). Après l’enquête sur la start-up lyonnaise Shoops et ses démarcheurs et démarcheuses sous statut d’auto-entrepreneur, des membres du collectif d’entraide à la rédaction de Rebellyon ont voulu cerner un peu mieux les enjeux de ces situations nouvelles avec la sociologue Sarah Abdelnour, l’une des rares à avoir étudié ce sujet.

Infos locales

Un été meurtrier et liberticide

Communiqué de la Coordination contre la répression et les violences policières