Nous, Putes, putes en devenir et allié-es, trouvons intolérable que cette journée ait lieu sans la présence des premier-es concerné-es, les organisateurs ayant refusé un droit de parole au Syndicat du Travail Sexuel (STRASS), sous prétexte que ce colloque n’était qu’un premier temps de réflexion.
Nous avons décidé de saboter à coup de mots et de paillettes ce colloque en prenant la parole qui nous était interdite.
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