Le dimanche 26 novembre au soir, au terme d’un banquet réunissant étudiant.e.s, jeunes exilé.e.s et des soutiens de toutes parts, le château du Tertre est investi. 888 m² répartis sur trois étages, une vingtaine de salles, un sous-sol, qui nous appartiennent désormais. Ironie de l’Histoire, le bâtiment construit par un armateur nantais qui a participé au commerce d’esclaves noirs est maintenant occupé par leurs petits-enfants. Leur majorité n’est pas reconnue, dans l’attente d’une décision administrative, leurs actes de naissance considérés comme faux... La roue tourne et parfois dans le bon sens.
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