En mai 2019, au Café-Librairie Michèle Firk

Programme des événements du café librairie Michèle Firk à la Parole Errante, local autogéré de discussions et d’organisations.

Plein de nouveautés sont arrivées, avec pas mal d’occasions et de livres récents bradés. On met tout ça en rayon et on vous présente quelques bouquins prochainement.

En attendant de vous croiser la tête dans les bouquins à la librairie ou dansant lors d’un concert à la Parole Errante on vous souhaite un beau début du mois de mai. À tout de suite dans les cortèges !

Vendredi 10 mai 19h30 Le Capital déteste tout le monde - Fascisme ou Révolution Rencontre et discussion avec Maurizio Lazzarato sur son dernier livre paru aux éditions Amsterdam/Prairies Ordinaires

Nous vous invitons le 10 mai à discuter du dernier livre de Maurizio Lazzarato (en sa présence) Le Capital déteste tout le monde.

Comme d’habitude, la présentation/discussion sera suivie d’un pot amical.

« Nous vivons des temps apocalyptiques. Dans le magma des événements du monde, une alternative politique se dessine : fascisme ou révolution. Le fascisme, c’est ce vers quoi nous entraîne le cours de démocraties de moins en moins libérales, de plus en plus soumises à la loi du capital. Depuis les années 1970, celui-ci est entré dans une logique de guerre. Ainsi est-il devenu, par la puissance que lui confère la financiarisation, une force politique vouée à la destruction des liens sociaux, des individus, des ressources et des espèces. Cette offensive fut rendue possible par la fin du cycle des révolutions. Mais tandis qu’elle s’opérait, les pensées critiques annonçaient la pacification des relations sociales et l’avènement d’un nouveau capitalisme, plus doux, plus attentif au confort des travailleurs. Aujourd’hui, des prophètes de la technologie nous vantent même une résolution de la crise climatique ou une sortie du capitalisme par les moyens du capital. Contre ces consolations illusoires et face au fascisme qui s’installe, il est urgent de retrouver le sens des affrontements stratégiques, de reconstruire une machine de guerre révolutionnaire. Puisque le capital déteste tout le monde, tout le monde doit détester le capital. »

Maurizio Lazzarato Sociologue indépendant et philosophe, Maurizio Lazzarato vit et travaille à Paris où il poursuit des recherches sur le travail immatériel, l’éclatement du salariat, l’ontologie du travail et les mouvements « postsocialistes ». Il a notamment écrit Puissances de l’invention. La psychologie économique de Gabriel Tarde contre l’économie politique (2002), Intermittents et précaires (avec Antonella Corsani, 2008), Le Gouvernement des inégalités. Critique de l’insécurité néolibérale (2008), Expérimentations politiques, et Marcel Duchamp et le refus du travail.

https://www.facebook.com/events/286331598963625/


Lundi 13 mai 19h30// Atelier des désaxé·e·s : L’expérience de l’école de la Neuville, avec Saturnin Mesnil et Clémence Morrisseau À partir de 19h30, discussion et projection autour de l’expérience de l’école de la Neuville et de la pédagogie institutionnelle, en présence de Saturnin et Clémence qui y ont travaillé longtemps.

Au début des années 1970, Fabienne d’Ortoli, Michel Amram et Pascal Lemaître se lancent dans le projet de la création d’un lieu en Normandie, dans lequel s’inventerait une pédagogie nouvelle pour des enfants de tous âges et de toutes origines confondus.

Ici le « vivre ensemble » sera un premier socle d’apprentissages à partir duquel s’agenceront codes et institutions pensés et construits pour et par chacune des personnes présentes.

C’est ainsi que l’École de la Neuville naît, soutenue par Françoise Dolto et Fernand Oury, qui ne cesseront de voir en ce projet l’expérimentation unique d’une pédagogie nouvelle.

Si les apprentissages scolaires ont une place dans le quotidien des enfants et des adultes, la Neuville se fonde aussi sur le partage des tâches de la vie quotidienne, la responsabilisation des petits et grands et la place laissée à la créativité de chacun·e.

La co-construction des institutions du lieu se fait notamment au travers d’espaces de parole comme les réunions hebdomadaires, présidées par les enfants.

Presque 50 ans plus tard, après de nombreux changements (déménagement en Seine-et-Marne, étoffement de l’équipe, groupe d’enfants plus important...), la Neuville reste une institution vivante, évoluant en fonction des enfants et des adultes qui en composent le collectif, où l’expérimentation d’une certaine émancipation pour les enfants et les adultes qui font ce lieu semble perdurer.

Nous vous invitons donc chaleureusement à venir échanger avec Clémence et Saturnin autour de cette expérience et plus largement sur la question de la pédagogie institutionnelle, de l’accueil, de l’ambiance, du « vivre ensemble » dans des institutions déjà existantes ou à inventer.


Mercredi 15 19h30 : Rencontre avec Mark Bray et l’Action antifasciste Paris-banlieue autour de l’ouvrage L’Antifascisme : son passé, son présent, son avenir

« Ce livre prend au sérieux la terreur transhistorique du fascisme et le pouvoir de conjurer les morts quand on réplique. C’est clairement un appel aux armes partisan, qui vise à offrir à une nouvelle génération d’antifascistes l’histoire et la théorie nécessaires pour enrayer la renaissance de l’extrême droite.

Ce livre, construit autour de 61 entretiens avec des antifascistes d’hier et d’aujourd’hui, conduits en Amérique du Nord et en Europe, ouvre notre horizon géographique et historique pour inscrire l’opposition à Trump et à l’alt-right dans une résistance bien plus large.

L’antifascisme. Son passé, son présent et son avenir est la première histoire transnationale de l’antifascisme d’après-guerre en français. C’est aussi la plus détaillée dans de nombreuses langues. J’y avance que l’antifascisme militant est une réponse sensée et historiquement fondée à la menace fasciste qui a persisté après 1945 – et qui n’a jamais été aussi vivace que ces dernières années. Peut-être ne refermerez-vous pas ce livre en antifasciste convaincu, mais au moins aurez-vous compris que l’antifascisme est une tradition politique légitime, héritière d’un siècle de luttes dans le monde entier. » (Mark Bray, introduction de l’ouvrage)

Le 15 mai, nous recevons Mark Bray, militant et historien du mouvement antifasciste, qui vient présenter son ouvrage récemment traduit aux éditions Lux : L’antifascisme, son passé, son présent et son avenir, une histoire transnationale des luttes antifascistes des années 1920 à aujourd’hui.

Des membres de l’Action antifasciste Paris-banlieue participeront aussi à la discussion et interviendront sur leur histoire et leur pratique antifasciste en France.

Écrit en anglais, le livre de Mark Bray a été beaucoup lu dans toute l’Amérique du Nord, particulièrement face au regain d’organisation de l’alt-right et à l’apparition publique de groupes néonazis ou fascistes (dont « La meute » pour Quebec, cf. http://lahorde.samizdat.net/2017/08/19/quebec-la-meute-hurle-avec-les-loups/). Nous le recevons à la Parole Errante à l’occasion de son passage en Europe.

Mark Bray s’exprimera en anglais et une traduction vers le français sera assurée. Nous en profiterons aussi pour exposer quelques posters du projet de mémoire des luttes populaires à travers le monde que réalise le collectif Just Seeds depuis des années :

https://justseeds.org/project/cph/

La discussion sera évidemment suivie d’un pot amical ! (on a en plus récemment acquis une friteuse).

On vous recommande par ailleurs la lecture d’Acta : https://acta.zone/, revue en ligne à laquelle quelques militants et militantes de l’AFA participent.

Sachez aussi que Mark Bray a souhaité que 50 % des droits d’auteur du livre soient versés au Fonds international de défense antifasciste géré par plus de 300 antifas répartis dans 18 pays.

Table des matières du livre :

1. ¡No pasarán ! L’antifascisme en 1945

2. « Plus jamais ça ». Le développement de l’antifascisme contemporain (1945-2003)

3. La montée des « nazis en costume » et l’antifascisme aujourd’hui

4. Cinq leçons d’histoire pour les antifascistes

5. La liberté d’expression en question

6. Stratégie, (non-)violence et antifascisme du quotidien

Conclusion. Good Night White Pride, ou : la blanchité est indéfendable

Quelques conseils d’antifascistes d’hier et d’aujourd’hui à l’intention de ceux de demain

https://www.facebook.com/events/2297169506970880/


Vendredi 17 mai 19h30 : Le monde en pièces : informatiser Rencontre avec les auteurs des articles sur l’apiculture nume rise e et les entrepots de la grande distribution

« Ce deuxième volume du Monde en pièces est consacré à la question de l’informatisation.

Il part du constat que la crise écologique, sociale et politique actuelle est indissociable de la colonisation de nos vies par les ordinateurs. Qu’on ne peut par conséquent prétendre faire la critique de notre époque en reléguant au second plan le numérique.

Contribuer à une opposition à “ la gestion et à l’informatisation de nos vies ”, pour reprendre le titre de la plateforme du groupe Écran Total, c’est dans ce but qu’ont été réunis les textes rassemblés ici ».

https://www.facebook.com/events/812613515775404/


Dimanche 19 mai à 14h30 : Arpenter I’M YOUR MAN. La vie de Leonard Cohen de Sylvie Simmons Cycle d’arpentages II : « BLUES PUNK & POP »

Pour clore son deuxième cycle intitulé « Blues, Punk & Pop », débuté avec Cette machine tue les fascistes, anthologie de textes de Woody Guthrie (Les Fondeurs de Briques, 2018), et poursuivi avec Entre un néant et un autre, recueil de littérature punk de feu le fanzine Ratcharge (Les Éditions des mondes à faire, 2017), Michèle Firk arpente I’m Your Man. La vie de Leonard Cohen (L’Échappée, 2018), la biographie en français de Sylvie Simmons consacré à celui que Bob Dylan surnommait le « Kafka du blues ».

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur Leonard Cohen sans jamais oser le demander ! Cette biographie sans égale, complète et ardente, riche et enlevée, raconte une œuvre-vie. Elle accompagne et éclaire minutieusement le chemin singulier d’un poète-romancier devenu musicien-chanteur et conscience universelle. Sous le charme, l’intranquillité. Sous la gravité, la drôlerie. À chaque pas, la lucidité. À chaque question, à chaque colère, la même réponse : aimer. Cohen ou « la vie avec les autres ».

Afin d’entretenir des rencontres régulières entre les livres, les corps et les idées qui circulent dans la librairie et plus largement à la Parole errante, Michèle Firk propose jusqu’à la fin de l’année des séries d’arpentages sous forme de cycles de trois livres chacun.

Qu’est-ce qu’un arpentage ? Issu de la culture ouvrière et de l’éducation populaire, c’est une méthode qui consiste à lire un livre collectivement et en peu de temps. L’ouvrage est divisé en plusieurs parties et partagé entre les participant.es à l’atelier. Après lecture en silence de sa partie, chaque lecteur·rice en fait la restitution à haute voix en s’appuyant si nécessaire sur des consignes préalablement tirées au sort. L’occasion de découvrir collectivement un ouvrage, d’en parler et de le faire parler. Au final, autant de livres que de lecteur·rice·s et l’arpentage comme un cadavre exquis de ces lectures. Rendez-vous donc une fois par mois à la librairie le dimanche après-midi !

Un apéro est prévu avant les vacances d’été afin de fêter ensemble cette année d’arpentages et préparer la rentrée. Une date sera fixée très prochainement, nous vous tiendrons au courant !

https://www.facebook.com/events/2426222564110540/


Mardi 21 mai 19h30 Borroka ! Abécédaire du Pays basque insoumis Rencontre avec la Mauvaise Troupe autour de leur abécédaire, en vue du contre-sommet du G7 qui se tiendra en août 2019 à Biarritz

Après constellations, Contrées, défendre la ZAD, Saisons, nous sommes très heureux de recevoir à nouveau la Mauvaise Troupe à la librairie pour cet abécédaire du Pays basque insoumis :

« Cet abécédaire du Pays basque insoumis a été rédigé en vue du contre-sommet du G7 qui se tiendra en août 2019 à Biarritz. Il a été pensé comme une première rencontre avec un territoire et ses habitants. Car le Pays basque n’est ni la France au Nord ni l’Espagne au Sud, ou du moins il n’est pas que l’Espagne ou la France. On s’aperçoit en l’arpentant qu’y palpite un monde autre, déroutant : le monde en interstices d’un peuple qui se bat pour l’indépendance de son territoire. Borroka, c’est la lutte, le combat, qui fait d’Euskadi une terre en partie étrangère à nos grilles d’analyse françaises. C’est de ce peuple insoumis et de sa culture dont il sera question dans cet ouvrage. »

La discussion sera suivie d’un pot amical, comme d’habitude.

Cette soirée sera l’occasion de revenir sur la longue histoire des luttes pour l’indépendance du Pays basque.

Avant de lire l’abécédaire, on vous conseille de lire le texte de Mauvaise Troupe sur Errekaleor, le plus grand squat du Pays basque :

https://mauvaisetroupe.org/spip.php?rubrique112

https://www.facebook.com/events/1103092233208456/


Lundi 27 mai 19h30 « En attendant, les avions décollent » - Mise en lecture des propos de personnes enfermées au centre de rétention administrative de Sète Représentation publique de Mathieu Gabard et Pierre Bertrand (Cactus Calamité team)

« Ils me gardent illégalement ici, pour gagner des sous, car la France reçoit des sous pour investir dans des centres comme ça, c’est un esclavage moderne. »

D’une activité l’autre, d’une production poétique à la suivante et sous diverses formes, nous sommes heureux de recevoir à nouveau l’École internationale supérieure de poésie intercontemporaine, avec Mathieu Gabard de Cactus Calamité et Pierre Bertrand.

En janvier 2016, Cactus Calamité présentait un fanzine à partir du CRA de Marseille. C’est à celui de Sète que cette soirée de représentation publique est consacrée le 27 mai.

Un extrait :

« Enfermés inutilement

Enfermés inutilement

c’est tourner en rond

c’est dépenser de l’argent pour rien

c’est faire des quotas d’expulsés au lieu d’aider

ça complique la vie

ça angoisse

ça pensées suicidaires

ça taillade les veines

ça souffrance beaucoup

ça rage

ça stresse

ça je n’arrive pas à dormir la nuit allongé les yeux ouverts

ça la douche brûlante

ça marche pas la machine

ça sert à rien tout ça

c’est pas déjà assez compliqué comme ça pour que l’État vienne mettre des bâtons dans les pattes ?

ce centre de rétention administrative de Sète

cage de désespoir

où chacun attend la sentence administrative »

https://www.facebook.com/events/404255567084031/


Présentation et échanges autour de « La police des migrants : filtrer, disperser, harceler »

Présentation et échanges autour de « La police des migrants : filtrer, disperser, harceler », en présence de coordinatrices et contributrices de l’ouvrage, le mardi 28 mai à 19h30

Le 28 mai, à 19h30 au Café-librairie Michèle Firk

Présentation et échanges autour de « La police des migrants : filtrer, disperser, harceler », en présence de coordinatrices et contributrices de l’ouvrage.

Comment le dispositif policier mis en place aux frontières et à l’intérieur des États, organise le contrôle tout en invisibilisant les migrants ?

À l’heure où les États européens se replient sur leurs frontières, les chercheurs et chercheuses du collectif Babels apportent des données inédites sur les pratiques des polices migratoires en Europe et leurs conséquences sur les populations concernées.

Ce livre montre comment s’articule le dispositif policier mis en place pour contrôler, expulser, harceler et invisibiliser les migrants.

La soirée sera aussi l’occasion d’échanger autour des continuités des pratiques policières tant dans des dimensions postcoloniales et racialisées que dans des contextes de mobilisations.


Lundi 3 juin 19h Construisons un féminisme pour les 99% ! Rencontre discussion avec Nancy Fraser et Elsa Dorlin autour du manifeste Féminisme pour les 99 %

La philosophe américaine Nancy Fraser et l’historienne américaine Tithi Bhattacharya à Paris : Construisons un féminisme pour les 99 % !

En mars, les éditions La Découverte publiait la traduction française d’un manifeste Féminisme pour les 99 %, un texte court coécrit par trois intellectuelles américaines : Nancy Fraser, Tithi Bhattacharya et Cinzia Arruzza : https://www.feminismforthe99.org/

L’ambition de leur manifeste et non des moindres : proposer, au grand public, une alternative théorique mondiale au mouvement féminisme « libéral », aujourd’hui dominant, d’en montrer les limites et les contradictions et d’engager 99 % des femmes, et des hommes, vers un nouveau mouvement féministe anticapitaliste inclusif et intersectionnel, qui a pour objectif la justice économique.

Nancy Fraser sera à Paris du 1er au 8 juin 2019, et le 3 juin 19h nous la recevrons dans la grande salle de la Parole Errante pour une discussion en compagnie de la philosophe Elsa Dorlin :

Lundi 3 juin à 19H à La Parole errante (Montreuil) !!!

La discussion sera suivie d’un pot amical, comme de coutume.

Nancy Fraser sera ensuite mardi 4 juin à 19H à la Librairie Le Merle Moqueur (Paris) et mercredi 5 juin à Paris X Nanterre.

Nancy Fraser est professeure de philosophie et de politique à la New School for Social Research (New York). Auteure de nombreux ouvrages, elle est l’une des principales représentantes de la Théorie critique dans le monde anglophone.

Le site du manifeste rassemble plusieurs interventions autour du livre :

https://www.feminismforthe99.org/media

Nous avions reçu Elsa Dorlin en octobre 2017 autour de son ouvrage Se défendre. Sa présentation est en ligne ici :

http://www.michelefirk.org/archives-sonores/

Des vidéos d’entretien ont aussi été faites sur lundi.am :

https://lundi.am/Suffragistes-et-Ju-Jitsu-1-5

https://www.facebook.com/events/593695884469764/


Lundi 10 juin - 19h On n’a que deux vies - Journal d’un transboy Rencontre avec Adel Tincelin, et Camille Ducellier Discussion, présentation, dans le cadre des ateliers désaxé·e·s, suivie d’un pot amical.

Dans le cadre des ateliers Désaxé·e·s, Adel Tincelin présentera son ouvrage On n’a que deux vies - Journal d’un transboy récemment paru dans la collection Sorcières des éditions Cambourakis, en compagnie de Camille Ducellier, autrice du Guide divinatoire du féminisme paru dans la même collection.

« Le 25 février 1973, j’ai été nommée Aude et assignée fille à la naissance. Le 30 novembre 2008, j’ai donné naissance à Charlie. Le 24 février 2014, j’ai compris que je n’étais pas une fille et j’ai engagé peu de temps après une transition. Le 26 février 2014, j’ai commencé un carnet, un tout petit carnet rouge et mince offert par deux amies pour mon anniversaire et destiné à Aude : “Le journal des 41 ans commence maintenant.” Il allait devenir le journal d’Adel. Mais le 25 février 2014, c’était le journal d’un reste infime de moi, d’un tout juste moi. »


L’ensemble du programme est sur le site de la librairie http://www.michelefirk.org/ et de la Parole Errante Demain : http://laparoleerrantedemain.org/

Note

Les locaux de la Parole Errante appartiennent au conseil départemental (CD) de Seine-Saint-Denis. Le bail se termine toutefois, et le collectif de la Parole Errante demain s’est constitué pour que les suites de la Parole Errante s’inventent à partir de l’existant et surtout à partir de la multiplicité d’initiatives et d’expériences culturelles, sociales et politiques accueillies ces dix dernières années dans ce lieu. Nous continuons de prendre la parole !

http://laparoleerrantedemain.org/

Le Café librairie Michèle Firk est ouvert du mercredi au samedi de 15h à 20h, par un collectif de bénévoles qui y discutent, s’y organisent, et invitent qui le souhaitent à prendre un café, participer, proposer des événements.. On est au 9 rue François Debergue à Montreuil, métro croix de Chavaux.

Localisation : Montreuil

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