Elles défendent des valeurs conservatrices, fustigent les mouvements féministes et font une lecture raciste des violences sexuelles… depuis le début des années 2010, des femmes sont de plus en plus visibles dans les espaces de la droite radicale. Elles créent des groupes féminins, comme les Caryatides, les Antigones ou encore le collectif Némésis, s’opposant tantôt frontalement au féminisme, soit s’en revendiquant en instrumentalisant la cause des femmes pour mieux s’opposer à l’immigration.
Qui sont ces groupes et ces personnes, qui prennent de plus en plus de place à l’extrême-droite et quelle est leur rhétorique ?
Magali Della Sudda a étudié ces groupes réactionnaires féminins pendant six ans. Elle vient nous présenter le livre issu de cette étude, Les nouvelles femmes de droite.
Alternative Libertaire et l’UCL Paris Nord Est vous invitent à en débattre au Lieu-Dit (rue Sorbier, Paris 20e) le mercredi 15 mai à 18h30.