greveloitravail@riseup.net
Suivre la journée de mobilisation en direct
Parcours :
Départ 13h de la Place d’Italie en direction des Invalides :
Pl. d’Italie > Av Gobelins > Bd Port-Royal > Bd Invalides > Esplanade Invalides
Différents appels :
Appel pour un cortège contre l’impunité policières :
Appel à une coordination nationale de lutte le WE précédant la manifestation :
Appel à former une hydre à mille tête pour la manif du 14 juin à Paris :
L’appel du Mouvement Inter Luttes Indépendant :
Appel international :
Venir à Paris
Aisne
Trois départs au moins organisés par FO.
Alliers
2 à 6 cars sont organisés pour monter à la manifestation à l’initiative CGT, Solidaires et FO.
Alsace
Départ en bus également. A réserver ici : solidairesalsace@gmail.com
Alpes de hautes provences
2 bus sont au départ de ce département
Alpes Maritimes
Un train est affrété par l’Union-Départementale CGT Côte d’Azur. Contact : 04/92/47/71/10
Aube
Au moins un bus au départ de Troyes
Aude
Sans doute un train affrété par la CGT.
Aveyron
L’intersyndical va mettre à disposition un ou plusieurs bus. A suivre sur la page facebook de la CGT Aveyron.
Ardennes
FO organise le départ d’un bus de Charleville Mézière. 3 bus de la CGT.
Hautes Alpes
Bus organisés par l’union départementale CGT
Le bas Rhin
Le Bas Rhin a prévu 1 train CGT (500 personnes) + FO (200 personnes et 2 bus Solidaires (80 personnes)
Bouches du Rhônes
Un TGV pleins de docker est prévu au départ de Marseille.
Calvados
Départ du calvados. Contactez l’union départementale CGT.
Cantal
2 bus à ce jour.
Charentes
Un départ en TGV est prévu tôt le matin à Angoulême !
Charentes Maritimes
Un bus de la FSU (à réserver ici snu17@snuipp.fr ) à ajouter aux 3 bus de la CGT.
Cher
Départs prévus de Vierzon et Bourges. 2 cars CGT + 4 minibus - 1 car FO.
Corrèze
Au moins 2 bus au départ de Paris.
Côtes d’armor
Départs de 5 bus au moins à l’initiative de l’intersyndicale.
Creuse
D’apart d’un bus dans le département.
Dordogne
Au moins 4 bus loués par la CGT.
Doubs :
Des bus seront affrétés par FO au départs. Pour plus d’info : Union Départementale du Doubs FO 03 81 25 02 93
Deux sèvres
Au moins 4 bus de réservés qui se remplissent et au moins un bus qui partira du Nord Deux-Sèvres. Inscrivez-vous auprès de l’Union départementale CGT au 05.49.09.02.39.
Eure
Des départs en bus sont appelés de tous le département par l’UD CGT locale.
Eure et Loir
4 bus au départ : 2 de FO et 2 de la CGT.
Finistère
2 bus organisés par la CGT.
Gironde
La CGT organise des bus au départ de bordeaux. Un train voir deux seront aussi au départ. En tout près de 500 personnes se sont inscrite pour monter à la capitale.
Haute savoie
Au moins 2 bus affrétés par la CGT.
Ile et vilaine
12 cars au départ de Rennes et 3 cars au départ du reste de l’ile et vilaine à l’initiative de la CGT.
Indre-et-Loire
Départ en bus le matin. A réserver ici.
Isère
Des bus sont organisés au départ de 4 points en Isère (voir en bas de l’article). Au moins 7.
Solidaires mets également en place des départs collectifs.
Lot :
L’Union Départementale CGT met en place un ou plusieurs cars au départ de Cahors qui fera des arrêts de ramassage à travers le département. Inscrivez vous au 05 65 35 08 56 il sera demandé une participation de 20€
Loire atlantique :
Solidaires 44 a pour l’instant affreté 3 bus pour monter à Paris le 14. S’inscrire sur le site de : http://www.sudptt44.org/
La CGT elle, en est à 10 bus réservés. De plus, un TGV de 350 place va être affrété.
Jura
Au moins 3 bus au départ du Jura. Contactez les unions départementales des syndicats.
Loir et Cher :
Départ en bus de Blois, Romorantin, Vendôme et Mer. Contacter l’UD CGT 41 : 02-54-45-48-08 ou par mail udcgt41@orange.fr
Marne
La FSU organise des départs en bus. La CGT à prori aussi au départ de Reims (au nombre de 7) mais ils font payer 20 euros pour les non CGTistes (belle solidarité).
Le comité de mobilisation contre la loi travail organise lui aussi des départs. A contacter ici :
comitedelutteremois@riseup.net
Mayenne
2 bus au départ du département.
Manche
3 bus au moins organisés par la CGT.
Meuse
Un bus organisé par la CGT.
Moselle
Nombreux départs à l’initiative de la CGT.
Morbihan
9 bus à ce jour, organisé par la CGT locale.
Nord
Le syndicat CGT de la métropole lilloise organise un départ en bus. Et pas qu’un peu puisque c’est 53 bus à ce jour qui vont débouler à Paris.
Nièvre
Départ en bus de Nevers, contacter l’union départementale : 03.86.71.90.90
Orne
3 bus à ce jour organisé par la CGT.
Oise
15 départs en bus organisés par la CGT.
Pas de Calais
Au moins 18 bus sont affrétés par la CGT. A noter aussi la possibilité de rejoindre le cortège parisien avec la CNT qui loue un bus !
Picardie :
Départ en car depuis l’usine Goodyear d’Amiens
Puy de Dôme
8 bus au départ du Puy de Dôme à l’initiative de la CGT.
Pyrénnées Orientales
Un départ en TGV organisé par la CGT.
Saone et Loire :
13 départs en bus ont lieu en Saone et Loire : A contacter l’UD CGT 71 vias mail (ud71@cgt.fr) ou téléphone 0385573515
Sarthe
Au moins 8 bus ont été réservés.
Seine Maritime :
Le Havre pète le score !
L’intersyndicale a annoncé avoir affrété 55 bus ! Champagne !
Somme
Un départ est également prévu contactez ul-cgt@ul-cgt-amiensville.fr
Tarn et Garonne
Au moins deux bus à l’initiative de la CGT.
Territoire de Belfort
Un bus au moins affrété. Contactez l’ UD CGT 90 au 03.84.21.03.07
Vendée
5 bus au moins partiront de Vendée à l’initiative de la CGT.
Vienne
8 cars CGT, deux de solidaires et un de la FSU au départ de Poitiers.
Haute Marne :
3 bus affrétés par la CGT. Contacter l’UD au 03 25 32 56 40
Hautes pyrénnées
L’instersyndicale affrète un train. 80 personnes minimum pourront monter.
Haute Loire :
3 bus affrétés par FO. Contacter : udfo43@wanadoo.fr ou 04 71 05 43 00
Pas de Calais
Des bus sont au départ de Calais et Boulogne sur Mer, affrété par solidaires. Toutes les organisations syndicales s’y sont mises. La CGT notamment, affrète 15 bus au départ de tout le département.
Et encore d’autres appels...
L’appel de la CNT
Les patrons et le gouvernement ne comprennent qu’un seul langage : la grève et le blocage !
Sans aucun doute, le bilan de la semaine écoulée atteste de l’amplification de la lutte contre la loi travail. L’heure est en effet à la reconduction des grèves dans de nombreux secteurs d’activité : routiers, dockers, raffineries, centrales nucléaires, aéroports, services publics, universités... dynamique qui continuera à s’amplifier dans les prochains jours avec le début de la grève illimitée à la SNCF et à la RATP notamment. Les occupations et les actions de blocage économique se multiplient avec un seul et unique objectif : amplifier le rapport de force avec un gouvernement qui n’agit qu’au profit du patronat. Le bilan des manifestations de ce jeudi 26 avril confirme quant à lui que le mouvement social ne faiblit pas, bien au contraire, déterminé à obtenir le retrait d’un projet de loi contesté par la majorité de la population.
Dans le même temps, le gouvernement s’entête à poursuivre une politique minoritaire. Alors que Manuel Valls, Premier Ministre, qualifiait cette semaine l’action syndicale et la grève de « dérive » des syndicats, assumant ainsi totalement le déni de démocratie du gouvernement, la CNT réaffirme que le blocage économique, l’occupation des usines et la grève générale ne sont que les actions légitimes des travailleur.euses qui par la lutte on fait le choix courageux de se battre pour les droits et la condition de toutes et tous. Face à ce gouvernement qui souhaite nous imposer un retour aux rapports sociaux du XIXe siècle, le durcissement de la lutte semble être le seul langage qui parle au capital : c’est le 49- 3 des syndicats !
Par ailleurs, alors que le gouvernement use depuis le début du mouvement d’une répression sans précédent (violences policières, arrestations préventives, interdiction de manifester, condamnation de syndicalistes, charge de cortèges manifestants, saccage de locaux syndicaux...) la CNT dénonce l’orchestration et l’instrumentalisation de la violence par l’État dans le but de criminaliser les luttes : ne nous y trompons pas, les vrais casseurs sont bien ceux qui cassent méthodiquement les acquis sociaux, le droit du travail, et l’ensemble de la protection sociale. A ce titre la CNT exige l’arrêt de toutes les poursuites judiciaires ainsi que la libération des condamné.e.s au titre de leur participation au mouvement social.
La CNT appelle l’ensemble des travailleur.euses, chômeur.euse.s ou précaires, actifs.ves ou retraité.e.s, étudiant.e.s et lycéen.ne.s, à amplifier la dynamique actuelle jusqu’à la victoire du mouvement social. Elle appelle l’ensemble des salarié.e.s du privé comme du public à organiser sans plus attendre des assemblées générales afin de voter souverainement la grève dans les secteurs d’activité qui ne sont pas encore mobilisés. Elle appelle également l’ensemble des structures syndicales à prendre leurs responsabilités et à appeler sans plus aucun détour à la grève générale illimitée.
La CNT soutient l’ensemble des actions mises en œuvre quotidiennement sur le terrain (blocages, occupations, rassemblements et manifestations) contre la loi travail et invite toutes et tous à multiplier les initiatives.
Le 14 juin, la CNT soutiendra l’ensemble des initiatives prises à la base par ses syndicats, qu’il s’agisse d’une participation à la manifestation nationale à Paris ou d’événements dans les localités.
LA CNT
L’appel de l’intersyndicale
Toujours déterminé-es :
Amplifier la mobilisation, faire respecter la démocratie !
CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL, FIDL
Après plus de deux mois de mobilisation des salarié-es, des jeunes, des privé-es d’emploi et des retraité-es, la mobilisation se poursuit et s’amplifie comme le montre cette journée du 19 mai.
Cette semaine, le développement d’actions, de grèves dans de nombreux secteurs et de blocages pour obtenir le retrait du projet de loi travail et l’obtention de nouveaux droits, montre que la détermination reste intacte.
L’opinion publique reste massivement opposée à cette loi Travail et à l’utilisation autoritaire du 49.3 par le gouvernement.
Le gouvernement n’a pas d’autre issue que celle du dialogue avec les organisations qui luttent pour le retrait de ce projet de loi et pour être écoutées sur les revendications qu’elles portent. C’est pourquoi les organisations CGT, FO, FSU, Solidaires et les organisations de jeunesse, UNEF, UNL et FIDL en appellent solennellement au président de la République.
Des secteurs professionnels sont engagés dans un mouvement de grève reconductible, d’autres vont entrer dans l’action. Les organisations appellent le 26 mai prochain à une journée nationale de grève, manifestations et actions.
Les organisations décident de renforcer l’action par une journée de grève interprofessionnelle avec manifestation nationale à Paris le 14 juin, au début des débats au Sénat. Elles appellent à multiplier d’ici là, sur tout le territoire, des mobilisations sous des formes diversifiées.
Elles décident également une grande votation dans les entreprises, les administrations et les lieux d’étude qui se déroulera dans les semaines à venir en parallèle au débat parlementaire afin de poursuivre avec les salarié-es et les jeunes les débats sur la loi Travail, obtenir le retrait de ce texte pour gagner de nouveaux droits permettant le développement d’emplois stables et de qualité.
La loi doit notamment préserver la hiérarchie des normes, élément protecteur pour tous et toutes les salarié-es.
Cette votation sera remise lors d’un nouveau temps fort qu’elles décideront prochainement.
Les organisations invitent leurs structures à poursuivre la tenue d’assemblées générales avec les salarié-es pour débattre des modalités d’actions, de la grève et de sa reconduction.
Elles se retrouveront rapidement pour assurer l’organisation et la réussite de ces mobilisations et initiatives.