À Montpellier, Saint-Nazaire, Caen, le Pouzin déjà les Maisons du peuple fleurissent et aujourd’hui, pour vous, c’est à Marseille qu’on libère des espaces !
Depuis de trop nombreuses années, les soulèvements sociaux se voient marginalisés et méprisés par les politiques. Après six mois de lutte des Gilets jaunes, le gouvernement n’a répondu qu’avec la violence de la répression policière. Aujourd’hui nous dénombrons de trop nombreux·ses bléssé·e·s, mutilé·e·s et emprisoné·e·s et ici, à Marseille, notre pensée va tout particulièrement à Zineb Redouane tuée par la police le premier décembre dernier lors d’une manifestation.
Ici, à Marseille, six mois après la mort de sept personnes dans les effondrements de la rue d‘Aubagne, la mairie n’a répondu qu’avec violence et mépris habituel et ce sont 3 000 expulsé·e·s qui se retrouvent face à sa scandaleuse ingérence. D’autre part, c’est tou·te·s les Marseillais·e·s qui subissent au quotidien la politique mafieuse de détournement de fonds publics, une gestion catastrophique de la ville ainsi qu’une épuration sociale criminelle.
La discrimination d’État des dits « étrangers » pousse tragiquement à une montée du racisme et de la xénophobie et aujourd’hui, en France et plus largement dans le monde, et les politiques migratoires se font chaque jour plus répressives et meurtrières.

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