Le mouvement social est bien fini. Mais de son côté, le pouvoir judiciaire continue de faire régner le droit contre celles et ceux qui se révoltent, à Beaumont-sur-Oise comme ailleurs. Et la justice voudrait nous imposer ses catégories : « coupable » ou « innocent-e », « prisonnier-e de droit commun » ou « prisonnier-e militant-e » ... Ces différenciations ruinent les liens qui peuvent s’établir entre les différentes révoltes. Comment assumer une critique du pouvoir judiciaire sans, du même coup, le nourrir ?
Nous sommes quelques un-e-s à ressentir la nécessité de se retrouver pour briser l’isolement que les engrenages répressifs de l’État instaurent aussi parmi nous.
Un rendez-vous est proposé le lundi 9 janvier, à 19h, aux Condensateurs, 43 rue de Stalingrad, à Montreuil (métro Croix-de-Chavaux).