Dans le but d’apaiser, le chef d’établissement a vu des parents des élèves sanctionné-e-s et leur a laissé entendre que les sanctions seraient levées...

Un petit groupe d’individu-e-s extérieur-e-s au lycée, venu-e-s en soutien à ces élèves, syndiqué-e-s ou non mais participant au mouvement contre la loi Travail, a demandé à être reçu par le proviseur. En le mettant « sur la sellette » sous la pression créée par le mouvement social actuel et par ce rassemblement en particulier, il lui a été demandé de confirmer que les élèves du lycée ne subiraient pas de plaintes auprès de la police pour les propos tenus sur les réseaux sociaux, ce qu’il a fait. Il lui a également été demandé de mettre par écrit les décisions de levée de sanctions, ce qu’il a accepté d’abord « dans la semaine », puis en insistant un peu « demain », le 25 donc.

Nous vérifierons !