Ce 9 avril, ils risquent tous de se retrouver une fois encore à la rue en raison de leur misère, de leur précarité, parce qu’ils n’ont pas choisi de naître au mauvais endroit ; ils ne sont pas dangereux, ils sont en danger !
Le collectif des Baras, constitué de 250 personnes sans-papiers, maliens, mauritaniens, sénégalais, roms, enfants, parents, célibataires redoutent leur prochaine expulsion prévue le 9 avril prochain.
Merci à tous ceux qui se sentent concernés par le respect des droits dûs aux humains chassés de chez eux par la misère et la guerre, de venir les soutenir dans un moment où en 15 minutes, ils risquent de perdre le peu qu’il leur reste, vêtements, couvertures, vaisselles, cahiers, livres, crayons, leur fragile sécurité et leur dignité.
Les comités de soutien et différentes associations de Montreuil, Bagnolet, Paris 20e, Paris 11e, Paris 18e