Répression - prisons

Infos locales

Analyse de la manif du 12 décembre 2020 par la Défense collective paris-banlieues

Ce qu'on a vécu ce samedi 12 décembre, c'est une vengeance. La vengeance d'un État qui ne peut pas accepter 1 mois de manifs déter et les images d'unités anti-émeutes en fuite tous les samedi. D'un point de vue tactique, la préfecture nous explique très clairement en quoi consistait cette vengeance : surnombre, mobilité, arrestations préventives, et cela correpond plutôt à ce qu'on a pu expérimenter dans la rue. Dans les faits, les flics ont démarré les hostilités dès le début de la manif et ce grâce à deux stratégies, toutes les deux plutôt nouvelles comparées à ce qu'on a connu jusqu'ici.

À lire ailleurs

Des nouvelles du 6 décembre à Athènes : un compagnon français arrêté et menacé de déportation

En Grèce, chaque 6 décembre les militants commémorent l'assassinat d'Alexandros Grigoropoulous, jeune de 15 ans tué par balle par un flic à Exarcheia à cette date en 2008. Cette année, la mobilisation a été marquée par une forte répression : 5000 flics sur la ville d'Athènes et plus de 400 arrestations dans la journée. Parmis ces arrété.e.s, un compagnon français n'a pas été relaché et est actuellement détenu dans la prison d´Amygdaleza, un centre de pré-déportation pour migrant.e.s.

| 1 | ... | 110 | 111 | 112 | 113 | 114 | 115 | 116 | 117 | 118 | ... | 479 |

Suivre tous les articles "Répression - prisons"