Un manifestant, conducteur RATP de la ligne 2, a été violemment arrêté en fin de soirée rue du faubourg St-Denis par la BRAV déchaînée, et embarqué.
Les derniers manifestant.e.s se dispersent. Nous allons cloturer ce live. Merci de nous avoir suivi.e.s.Toutes les infos sur la grève en cours sur https://paris-luttes.info
Rue du faubourg Saint-Denis, les voltigeurs (Brav) font un carnage et tapent sur tous les gens qui passe. Complétement en roue libre.
Sous le coup des tirs de gaz lacrymo en série, la foule s'est éparpillée. Si vous êtes témoins de violences policères ou d'arrestations contactez la ligne de la Coordination antirépression (contact par Signal possible):07 52 95 71 11
Le gros des manifestants restant est sortie de la gare du Nord pour aller en direction de la gare de l'Est. Des poubelles sont enflammées sur la route. Quelques gaz lacrymo. Voltigeurs et gros gazages devant la gare du Nord.
Il ne reste plus beaucoup de monde dans la gare du nord. Mais encore beaucoup de personnes devant la gare. La foule scande "Macron démission"! Les trains sont retardés en raison de la présence des manifestant.e.s
La police arrive massivement et tente d'expulser des manifestant.e.s de la gare sans ménagement avec usage de gaz dans la gare. De l'autre côté, certaines portes sont bloquées. Pourtant l'occupation est très bon enfant et seulement symbolique pour l'instant. Les trains n'ont pas réellement été bloqués. Grosse confusion dans la gare. Qui est usager ? qui est manifestant voir les deux ? Be water !
La gare du nord envahie ! Pendant que la manifestation se disperse devant la gare de l'Est, des manifestant.e.s sont entré.e.s dans la gare du Nord voisine. Ca chante dans le hall, la sécurité est dépassée. Y a une ambiance de fou !
Le canon à eau est de sortie devant la gare de l'Est.Une grande nasse s'est mise en place. Au moins une arrestation assez violente à signaler. Faites attention à vous !
Ça gaze en direct sur les manifestants sur le parvis de la gare de l'Est à l'arrivée de la manifestation parisienne contre la réforme des retraites. Quelques poignées de manifestants semblent tout de même être entré dans la gare.
Le début de la manif contre la réforme des retraites est arrivé gare de l'Est. Le parvis de la a gare de l'Est a été partiellement occupé. Actuellement les gendarmes protègent la gare.
La manifestation repart, non sans avoir au préalable déposé des messages politiques partout. On parle déjà du 9, 10 et 11 janvier !
On voudrait rappeler que le rôle principal de l'État est de gérer le transfert des richesses entre ceux qui la produisent et ceux qui en profitent. Cette contre-réforme des retraites profitera surtout aux sociétés de capitalisation boursière.
La manifestation est bloquée sur l'entrée du boulevard Magenta.
La manifestation est gazée sans raison apparente, mais arrive malgré tout place de la République.
Les mouettes tournent autour du drone de la police sous les encouragements d'une partie des personnes présentes.
Tension au niveau de la rue Charlot. Un CRS est blessé sans qu'on sache encore pourquoi. Les CRS ont lancé une grenade désencerclante au milieu de la foule. Les flics se font huer. Il y a aussi un blessé côté manifestant.
La manif arrive devant le Cirque d'Hiver. Il y a un cortège de profs et des travailleurs de la mairie de Paris dans la manifestation. A l'avant, c'est statut quo avec du calme et des tensions provoquées par la présence des flics.
"Grève, blocage, Macron dégage !" Les travailleur·euse·s n'ont rien à négocier avec Macron.
La manif arrive devant le Cirque d'Hiver. Il y a un cortège de profs et des travailleurs de la mairie de Paris dans la manifestation.
Un espace de plus en plus important se forme entre la tête du cortège et les cortèges syndicaux. Les flics en première ligne s'équipent.
La petite tension provoquée par les CRS boulevard Beaumarchais est retombée. La manif a repris son cours plus calmement.
La manif repart, puis ça reflue sur le boulevard Beaumarchais mais finalement ça repart. Il y a de la tension dans l'air.
Suite à cette altercation, quelques CRS en sous nombre sont obligés de se replier sous quelques projectiles au niveau du boulevard Beaumarchais. Pour se replier ils ont lancé une grenade lacrymogène. La situation se tend.
Pour l'instant la manif stagne à Bastille. Les gens ne veulent pas forcément avancer au milieu d'un gros dispositif policier.Les CRS présents se font prendre à partie verballement car un CRS vient de dire que les manifestants sont des animaux. Les gens exigent du respect et de pouvoir manifester sans eux.
Beaucoup de flics à Bastille avec la Brav à l'affut. La tête de manif est entourée de gendarmes. Technique allemande.
Plusieurs milliers de personnes sont présentes à la manifestation parisienne. Si les cortèges syndicaux sont tristounes, la tête de manif est importante et dynamique. Rejoignez-les !
La manif est partie ! Comme on pouvait s'y attendre il y a du monde et un gros dispositif policier. La tête est déjà place de la Bastille.
Les gendarmes mobiles sont au contact des manifestants à l'avant de la manif au niveau de la rue de Lyon. Ils reculent lentement sous la pression du nombre. Les gens scandent "cassez vous ! " "ou "reculez, rentrez chez vous !". Rappelons que le parcours est déclaré.
Les manifestants rendent hommage à Alix gréviste de la ligne 7bis qui s'est suicidé ces derniers jours.
Il y a déjà pas mal de monde pour une manif en vacance scolaire. Les manifestant.e.s sont déjà en place depuis la gare de Lyon et sur la rue de Lyon. La Brav est de sortie. Attention à vous !
Départs de plusieurs points à Paris et banlieue (porte des Lilas, père Lachaise, Croix de Chavaux, gare d'Austerlitz, Reuilly...) pour rejoindre la manif de 13h gare de Lyon.
Pour suivre la manif parisienne contre la réforme des retraites c'est par ici -
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Nouvelle phase dans la communication gouvernementale : après la période de silence post-réunion de Matignon, ce fut la rentrée (de Marrakech) pour E. Borne, qui, avec JB Djebarri annoncent que des places sont disponibles dans les TGV et que les Français peuvent voyager…
En fait, rien de bien neuf, c’est exactement le même discours qu’il y a une semaine. La SNCF a de nouveaux VRP pour tenter de rassurer les médias que tout va bien et que les trains roulent alors que le plan de transport prévoit : 1 transilien sur 5, 3 TER sur 10, 6 TGV sur 10 et 3 intercités sur 10. Le mouvement de contestation reste fort et les grévistes s’organisent pour passer la fin d’année dans des moments festifs comme les réveillons ou les repas de lutte avant l’explosion sociale en 2020.
Une nouvelle année sous le signe de la mobilisation !
Après un Noël sans trêve, c’est une rentrée sociale en grève que nous devons déclencher. Depuis la prise de parole d’E. Philippe, rien n’a changé. La prise de conscience collective des salariés sur la toxicité du projet fait que le soutien populaire au mouvement reste fort et semble acquis. Les actions, manifestations et rassemblements interprofessionnels menés pendant les fêtes continuent de déstabiliser ce gouvernement qui pensait avoir une trêve avec sa stratégie du pourrissement. Les appels à soutenir les cheminots et les secteurs en lutte se multiplient, par la prise de parole, mais aussi par la solidarité financière. Ces « caisses de grève » qui se multiplient démontrent le soutien à un mouvement historique qui ne s’arrêtera pas le 1er janvier. Les cheminots n’ont pas fait tout ça pour ne pas faire plier cette classe politique arrogante.
Macron qui s’est enfermé à Brégançon doit maintenant prendre ses responsabilités et annoncer le retrait de la réforme !
L’ensemble des stratégies mises en œuvre pour faire passer sa réforme ont échoué, le gouvernement se retrouve isolé sur une ligne idéologique fortement rejetée par une majorité de la population. La seule chose qui doit être annoncée demain soir est le retrait sa réforme dont personne ne veut pour ouvrir un nouveau cycle de négociations afin de réellement améliorer les retraites existantes en luttant contre les inégalités sociales qui sont aujourd’hui constatées. Faute de quoi, c’est bien l’ensemble des salarié·e·s qui continueront en 2020 à se battre contre sa politique antisociale.
Farandou va devoir nous rendre des comptes également !
Après avoir nommé deux banquiers à la tête de Gares & Connexion et de SNCF Voyages, le PDG de la SNCF et annoncé que tout était sur la table concernant les retraites, il a disparu des radars. S’il pense que son silence va nous faire oublier la fin du statut, la transformation des EPIC en SA, la poursuite de la désintégration du système ferroviaire et de l’unité sociale au 1er janvier 2020, il se trompe. En ce début d’année, nous allons également arrêter la régression sociale dans le ferroviaire.
Dès le 2 janvier, réinvestir nos lieux de travail pour faire repartir la grève !
La soirée du 31 décembre sera l’occasion dans de nombreux lieux de se retrouver toutes et tous lors de « réveillons des luttes »… et si Macron confirme son projet néfaste, d’aborder l’année 2020 avec la même détermination ! Une nouvelle manifestation contre la réforme des retraites aura lieu à Paris le samedi 4 janvier à 13H à l’appel des unions départementales parisiennes CGT, Solidaires, FO, FSU, UNL, MNL, UNEF ; des actions dans de nombreuses régions sont d’ores et déjà prévues pour faire de cette rentrée 2020, une rentrée de la colère !!
Tenir bon, s’organiser dans la grève et en 2020, le gouvernement n’aura pas le choix !
Sud Rail