Un an après la manifestation du 22 février à Nantes, les mots d’ordre et les craintes n’ont toujours pas changés.
Malgré la mort d’un homme et les mobilisations qui l’ont suivie, malgré la multiplication des zones à défendre contre l’appétit des bétonneurs et cela comme autant de points de ruptures, de lieux d’organisation et de vie, malgré les éborgnés et les blessés de toute nature qui garderont des séquelles à vie, malgré tout les gens incarcérés ; nous réentendons toujours le même couplet mortifère.
Les travaux reprendront, les occupants seront évacués et tout rentrera dans l’ordre.
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