Sous la pression des associations locales et du collectif Sauvons la Dhuis, l’ASN a été forcée d’accepter la participation de la CRIIRAD (association indépendante de mesure des radiations, née après Tchernobyl) pour la prise de mesures.
Le verdict est sans appel : au moins deux zones présentes de très fortes contaminations radioactives. Plus encore, lors de la visite, un fragment métallique s’est décroché, et il pourrait bien s’agir tout simplement... d’uranium.
Ainsi une contamination radioactive plus de 70 fois supérieure à la normale a bien été confirmée par la CRIIRAD en présence de l’ASN dans la casemate de tir TC1 du Fort de Vaujours.
Lire le communiqué en entier du collectif Sauvons la Dhuis.