Ce matin vers 9h six ou sept flics débarquent pour me remettre un papier sûrement une interdiction liée à l’état d’urgence. Manque de chance je suis absent et donc elle ne s’applique pas à moi !
La camarade présente a refusé de leur donner mon numéro de portable et donc impossible pour eux de me joindre. Elle garde ses réflexes datant de l’époque de la dictature de Pinochet…
Je suis libre d’aller et de faire ce que je veux !
Alors ce soir en marche vers la révolte !
Toujours enragé et deter !