La participation des femmes aux combats contre Daesh et leur rôle décisif dans l’organisation du soutien aux réfugiés ne peuvent s’expliquer sans remonter aux formes d’organisation non mixtes qu’elles se sont données depuis longtemps : celles-ci leur ont permis de faire reculer significativement les manifestations de la violence masculine au sein de leur communauté, mais également de prendre part à plein titre aux structures d’organisation à la base mises en place dans cette partie du Kurdistan.
Vive la Sociale, sur Fréquence Paris Plurielle.