fichage

Infos locales

Refusons de participer à notre propre fichage ! Appel à une présence solidaire au procès d’E le 29 mars à 13h30

E. sera jugé à la chambre 23/2 du TGI de Paris le 29 mars à 13h30 pour « groupement en vue de... ». Arrêté le 20 février en contrôle préventif avant la contre-manif contre Génération Identitaire, il a été incarcéré parce qu'il avait refusé de donner ses empreintes. Il a été libéré sous contrôle judiciaire le 3 mars lors de la première demande de mise en liberté.

Infos locales

Première demande de mise en liberté pour E., incarcéré suite à la manif contre Génération Identitaire

E. s’est fait arrêter lors d’un contrôle préventif à l’occasion de la contre-manif contre Génération Identitaire. Son refus de donner ses empreintes a servi de motif pour l’incarcérer en préventive dans l’attente de son jugement qui aura lieu le 29 mars. La première audience de demande de mise en liberté est fixée mercredi 3 mars à 13h3O au TGI de Paris chambre 23/2. Soyons nombreux pour le soutenir et contre l’incarcération systématique suite aux refus d’empreintes !

Analyse et réflexion

DGSI : dernières techniques de drague…

Depuis 3 mois, plusieurs personnes à Marseille et dans dʼautres villes de France se sont faites « approcher » par les RG en lien avec la question du Rojava et du Kurdistan. A chaque fois, ces personnes ont été « contactées » de manière individuelle et isolée. Cette fois-ci, ce qui est visé par les flics est le soutien actif à la lutte au Rojava, mais régulièrement des histoires similaires arrivent à des camarades impliqués dans dʼautres luttes. À travers un exemple particulier, ce texte vise à analyser et à comprendre la stratégie des RG et mieux se défendre collectivement de la police..

Infos locales

Appel à soutien du comité rennais aux inculpé.e.s du 8/12

Le 8 décembre 2020, 9 personnes désignées comme membres de "l’ultragauche" ont été arrêtées par la DGSI dans le cadre d’une enquête pour « association de malfaiteurs en vue de commettre des actes terroristes criminels ». Aucun fait ne leur est reproché, or l’État se permet de les priver de leur liberté sur ce qui est annoncé comme des « soupçons » de potentiels « projets » de « dégradation de biens et d’action violente ». Une des inculpé.e.s est rennaise, ce qui nous a amené.e.s à créer un comité de soutien pour l’ensemble des inculpé.e.s. 2 sont actuellement sous la contrainte d’un contrôle judiciaire, 5 sont incarcéré.e.s depuis début décembre dans des conditions qui sont celles de l’antiterrorisme : isolement, surveillance renforcée. Dans l’attente d’un procès, iels restent en détention provisoire.

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