Un pavé dans la mare, c’est la politique du gouvernement

Dans cet article du Parisien on apprend que pour justifier le jet filmé d’un pavé par un policier sur un manifestant ce 1er mai, la police explique que celui-ci n’avait certainement plus de munitions à se mettre sous la main :
"On va chercher à comprendre le contexte. La priorité pour les forces de l’ordre est d’utiliser les moyens de défense dont ils sont dotés. Si ce policier a jeté un pavé, c’est peut-être car il n’avait plus de grenades sur lui", a indiqué le Service d’information et de communication de la police au Parisien.

Par ailleurs, la conjoncture étant toujours favorable aux forces de l’ordre le Service d’information et de communication de la police nationale précise d’abord que, pour l’instant, l’IGPN n’a pas été saisie et qu’aucune plainte n’a été déposée. « L’IGPN n’est saisie que dans des événements graves, et on n’est pas sûr que le projectile ait atteint quelqu’un  », explique-t-on.

C’est que malgré tous les blessés recensés depuis la loi Travail, ils manquent de munition ces policiers ! Alors cette année, retour à l’âge de pierre, le CRS se met au pavé...

Il semblerait que cela soit une polithique active puisque ce n’est pas la première fois qu’ils sont pris sur le fait : à Montpellier déjà les CRS semblaient s’enjailler en jetant des pavés sur les gilets jaunes le 5 janvier dernier.

Vont-ils bientôt dépaver plus vite que le bloc ?

La seule chose restant gravée dans le marbre est que la police n’est jamais à court d’excuses bidon pour justifier ses débordements…

Mots-clefs : armes de la police | CRS | 1er mai
Localisation : Paris

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