
Des dizaines de flics ont mis à la rue les habitants, sans qu’ils puissent prendre le temps de récupérer leurs affaires. Certains étaient déjà partis au travail.
Les identités de toutes les personnes ont été contrôlées et aucune solution d’hébergement n’a été proposée.
La mairie n’a pas été informée par la préfecture de l’expulsion alors qu’une rencontre avec le propriétaire, l’EPFIF, avait eu lieu vendredi 4 juillet, que des demarches de logement étaient en cours avec les services de la mairie et une audience devant le juge de l’exécution devait avoir lieu le 2 octobre pour accorder des délais supplémentaires avant expulsion.
Face à cette expulsion nous exigeons que tous les personnes soient relogées.

