Jeudi 8 mai 2014, à 19h
Les animaux sont des êtres sentients. Ils sont de loin les premières victimes du capitalisme, de par leur nombre et de par l’intensité de l’exploitation qu’ils subissent – essentiellement pour leurs chairs.
Nous sommes pourtant peu solidaires à leur égard. Nous considérons que leur exploitation n’est pas un problème social, ni un problème éthique, ni un problème politique. Or aujourd’hui cette idéologie spéciste s’écroule : même la représentation savante du monde (philo, histoire, socio, anthropo, éthique et politique...) ne la défend plus et elle apparaît désormais minée de toute part.
Quelles perspectives ouvrent la critique du spécisme ?
Quels basculements de notre vision du monde ?
Et, surtout, quelles révolutions pour les non humains ?
Le Rémouleur
106, rue Victor Hugo
93170 Bagnolet
(Métro Robespierre ou Gallieni)