Harcèlement des migrants et migrantes dans le nord-est parisien
Quelques nouvelles récentes suite à la dernière évacuation de campement le mercredi 29 juin.
Quelques nouvelles récentes suite à la dernière évacuation de campement le mercredi 29 juin.
Depuis la mise en place de la réforme du droit d'asile en novembre 2015, force est de constater que le nouveau système a des conséquences désastreuses pour les personnes en quête d’une protection. Ce système n'est pas en phase avec la réalité de la demande d'asile et ne peut devenir pérenne.
Ce samedi 18 juin 2016 à 15h30 nouvelle manifestation pour la liberté de circulation !
Tandis qu’Anne Hidalgo a annoncé la semaine dernière la création d’un camp de réfugiés « aux normes ONU » à Paris, 22 habitants du campement du jardin d’Éole dans le 18e arrondissement se sont fait arrêter le jeudi 2 juin alors qu’ils se rendaient aux douches municipales. La préfecture de police leur a notifié des obligations de quitter le territoire (OQTF).
Appel de la CGT à un rassemblement de soutien aux travailleurs sans papiers le 9 juin de 11h30 à 13h30 place du Châtelet à Paris métro Châtelet.
Ce lundi 23 mai, les flics sont entrés dans le foyer de travailleurs étrangers Coallia de la rue Claude Tillier et ont embarqués une cinquantaine de personnes, sans-papiers. Un rassemblement est prévu aujourd'hui à 16h30.
Juste trois jours après l'expulsion du lycée abandonné Jean Jaures, occupé par 300 migrants dans le centre ville de Paris, la maire de la Ville, Anne Hidalgo (PS), a lancé, à l'heure de la “Fête de l'Europe”, un débat intitulé "Europe - réfugiés : un test de solidarité ?". Une hypocrisie qui ne pouvait pas se dérouler sous silence. Nous sommes donc plus de 300 (migrant-E-s, personnes solidaires, collectifs de sans papiers et participant-e-s à Nuit Debout) à nous être invitéEs à l'événement.
Mercredi 4 mai 2016, dans la matinée, le squat du lycée désaffecté Jean-Jaurès, à Paris (avenue Simon Bolivar, dans le XIXe), a été expulsé.
À propos de l'expulsion, mercredi 4 mai au matin, des migrants qui occupaient depuis deux semaines le lycée Jean-Jaurès.
Le Collectif parisien pour les mineurs et jeunes isolés étrangers alerte sur la situation dramatique que subissent depuis des années les Mineurs Isolés Etrangers.
Le samedi 30 avril, une journée de rencontre, manifestation et concerts aura lieu à Rennes, pour la défense du droit d'asile. Rejoignons-la pour y porter l'écho de la situation des migrant-e-s et des luttes en cours à Paris !
Jeudi 31 mars à Stalingrad, des migrants ont été raflés et se sont retrouvés emprisonnés en centre de rétention alors que l'opération policière ressemblaient aux opérations de communication que la mairie de paris appelle mise à l'abri. Invisibilisation, parcellisation des cas, arbitraire du traitement social, répression policière ou judiciaire devant la moindre tentative de traduction politique des revendications... Sans refus et résistance collective dès maintenant auprès de celles et ceux qui les subissent ces formes de gestion des populations sont destinées à s'étendre à toutes et tous.
Ce dimanche 20 mars, K, rencontré lors des campements de migrants et migrantes cet été était présenté devant la cour dite du 35bis au palais de justice de Paris. C'est-à-dire qu'un ou une juge dit de la liberté et de la détention (JLD) était chargé de décider si K pouvait être maintenu en rétention pour une période de 20 jours (renouvelable une fois, le maximum de la rétention étant de 45 jours) afin d'être expulsé, assigné à résidence en attendant d'être expulsé ou libéré pour vice de procédure.
Mercredi 9 mars au soir, le jour même où des dizaines de milliers de personnes défilaient contre une énième outrance de ce gouvernement, la police a tenté une nouvelle fois d'expulser le campement des réfugiés de Stalingrad, sans succès.
Journée d'information sur la nouvelle loi asile, sur la nouvelle loi sur l'immigration et sur les conséquences qu'elles entraînent pour les personnes concerné-e-s et soirée de lancement de la caisse de défense collective face à la rétention.
Plusieurs matelas ont brûlé au centre de rétention du Mesnil-Amelot. Les détenu-e-s ont été transférés (libérés pour certains). Deux personnes ont été hospitalisées, mais aussi mises en garde-à-vue, accusées d'être responsable des incendies. Communiqué de la Cimade détaillant les événements.
Suite à l’expulsion d’une partie de la jungle de Calais, une manifestation a été organisée le vendredi 4 au départ de Gare du Nord. Compte rendu d'un membre du groupe Regard noir de la fédération anarchiste.
Tract qui a été distribué lors du rassemblement lundi 29 février et de la manifestation vendredi 4 mars en solidarité avec les migrant-es de Calais, face à l'expulsion de la partie sud de la Jungle. Suite à la manifestation de vendredi, des migrant-es ont essayé d'installer un nouveau campement place de la République, mais ils ont été lourdement réprimés par les flics : coups, gazage, et descendus de force dans le métro. Après plusieurs heures de face à face, ils ont décidé de retourner au campement sous le métro de Stalingrad. Plusieurs d'entre-eux ont été blessés et ont du être emmenés à l’hôpital. La lutte ne s'arrête pas et d'autres initiatives sont à prévoir dans les jours à venir.
Appel à manifestation vendredi 4 mars à 18h, Gare du Nord, suite à l'expulsion d'une partie de la Jungle de Calais.
Des Afghans, des Soudanais, des Érythréens et des soutiens avaient lancé un appel à la mobilisation pour ce mardi 1er mars à 18h place de la République. Environ 100 personnes ont répondu présentes, y compris 30 flics qui ont pris soin de bloquer le cortège pour le neutraliser.
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