À lire ailleurs

Répression - prisons

Communiqué de proches et ami.e.s de Cesare Battisti - 28 mois d’isolement, 5e jour de grève de la faim et de son traitement médical.

Communiqué des ami.e.s de Cesare Battisti suite à sa décision de cesser à nouveau de s'alimenter et de se soigner. Il est urgent que la décision de la Cour d'Assise de Milan soit appliquée, de sorte qu'il puisse être transféré dans une prison et dans un parcours de réclusion classique, hors de l'AS2, plus proche de sa famille qui ne peut plus le visiter, et qui lui permette de sortir de l'isolement de fait qu'il subit depuis 28 mois.

Répression - prisons

Mumia est en danger de mort !

A l’initiative du Collectif français Libérons Mumia, une réunion s’est tenue le 16 mars au siège du MRAP à Paris avec la participation de plusieurs organisations particulièrement préoccupées par la brutale dégradation de la santé de Mumia et le comportement inhumain de l’administration pénitentiaire. Il souffre en isolement à l’infirmerie de la prison avec des soins à minima et inappropriés à la gravité de son état. Cette rencontre a été l’occasion de souligner l’urgence d’amplifier la mobilisation en France pour contraindre les autorités de Pennsylvanie à mettre immédiatement un terme à ce qui relève de la torture et s’apparente à une peine de mort déguisée.

Répression - prisons

Trois heures d’une vie kafkaïenne. Retour sur le procès en appel de Kamel Daoudi

Ce mercredi 27 janvier, comparassait Kamel Daoudi, plus vieil assigné à résidence de France, devant la cour d’appel de Riom. Il lui était reproché un retard de 25 min sur le couvre-feu quotidien qui lui est imposé depuis douze ans. En première instance (septembre 2020), il avait écopé d’une peine d’un an d’emprisonnement avec mandat de dépôt. Actuellement incarcéré au quartier d’isolement de la maison d’arrêt de Lyon-Corbas, à près de 500 km de sa famille, il a donc été rejugé. Article paru sur Rebellyon

Répression - prisons

Communiqué du journal L’Envolée suite à la censure du n°52 dans les prisons françaises.

Le 4 janvier dernier, par une « note de la direction » placardée dans toutes les prisons, l’administration pénitentiaire (AP) a interdit la diffusion du n° 52 du journal L’Envolée aux prisonnier·e·s abonné·e·s ; en même temps, elle a porté plainte pour diffamation et injure. Depuis vingt ans, L’Envolée soutient que les prisonniers, les prisonnières et leurs proches sont les mieux placés pour énoncer quelques vérités sur la prison. À travers cette censure et cette plainte, il s’agit de réduire au silence cet espace de libre expression, d’information et d’élaboration collective d’une critique de la prison.

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